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MARCASTEL Jean-Luc – L’Auberge entre les Mondes, embrouilles au menu !

13/03/2018 13 commentaires

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Couverture du livre "Embrouilles au menu !" de Jean-Luc Marcastel. Il s'agit du tome 2 de la série "L'auberge entre les mondes"

Titre : Embrouilles au menu ! (L’Auberge entre les Mondes, tome 2)
Auteur : Jean-Luc Marcastel
Plaisir de lecture : note : 4 Livre à découvrir
Lire les premières pages
Tome 1 « Péril en cuisine ! »

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L’Auberge entre les Mondes accueillent la reine myrmicéenne et l’empereur vespalien afin d’arriver à une entente ultime. Ce repas est leur dernier recours cordial pour ces deux peuples. Seulement la disparition de la princesse héritière de Terra Myrmicea et le vol du diadème royal déclenchent les hostilités. Nathan va devoir agir pour éviter que l’équilibre de multivers ne soit touché et devienne encore plus menaçant pour tous.

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L’Auberge entre les Mondes est reconnue comme territoire neutre et bienveillant qui prône la diplomatie… grâce à la gastronomie. Il est dit qu’un délicieux repas peut adoucir les mœurs.
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Pourtant l’établissement de réputation intersidérale va bien avoir du mal à rétablir le chaos qui se répand dans la salle. Nathan va devoir agir illico presto. Le protagoniste a grandi et est devenu plus mature depuis le premier tome « Péril en cuisine ! ». Il est toujours accompagné de Félix, Mademoiselle Fan, les jumeaux Kolkrabbi et Bleksprutt ; et bien évidemment, le familier de Nathan : Pickman, le gargouilleux.

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Cette histoire se lit très vite grâce au rythme insufflé par l’auteur. Il émaille le récit de détails sur son univers, sur l’auberge mais aussi sur les personnages. Nous avons des bribes d’informations concernant Félix, sa personnalité et son passé.
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Les multiples rebondissements donnent beaucoup de relief à ce roman fantastique. L’immersion du lecteur est réussie. Le péril réveillé dans le livre risque de mettre la vie de l’équipe en danger.

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Le récit est court et adapté aux plus jeunes lecteurs, dès 9 ans. Trois recettes en fin de livre allient cuisine et surnaturel – et humour ! – grâce aux frères poulpes. L’ensemble de la couverture est illustré par Lucas Durkheim. Les deuxième et troisième de couverture offre les illustrations des personnages en couleurs. Couverture glacée, mouture souple du livre, numéro de pages dans un chaudron : le livre est soigné jusqu’aux finitions.

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Galerie des personnages du livre "L'auberge entre les mondes" de Jean-Luc Marcastel : Nathan, Félix, Mademoielle Fan, Kolkrabii et Bleksprutt, le Gargouilleux

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CONEY Michael – Le Chant de la Terre ~ Le roi de l’île au sceptre, tome 5

05/03/2018 6 commentaires

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Couverture argentée du livre "Le roi de l'île au sceptre" de Michael ConeyTitre : Le roi de l’île au sceptre (Le Chant de la Terre, tome 5)
Auteur : Michael Coney
Plaisir de lecture Livre à découvrir
Tome 1, tome 2, tome 3, tome 4

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Le Chant de la Terre est le chant épique qui raconte l’Histoire de l’Humanité. Comme il faudrait plus d’un siècle pour la chanter dans son entièreté, il existe cinq extraits pour mieux la saisir. « Le roi de l’île au sceptre » est le dernier fragment.
Deux aléapistes viennent de se télescoper, mettant l’univers sans dessus-dessous alors que Starquin le Cinq-en-Un s’avère toujours prisonnier.

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Les aléapistes sont des bifurcations temporelles : des vies alternatives des personnages. Deux viennent de se cannibaliser. Le Gno-monde n’existe plus : quelques gnomes survivants sont passés sur l’aléapiste des humains. Complètement déphasés, ils ne savent plus qui ils sont et quels sont leurs buts. Les querelles naissent et le minuscule clan se divise en deux, certains partent survivre sur la plage.

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Tristan est mort, laissant Yseult bien désœuvrée. Nynève rencontre alors Arthur, en chair et en os et apporte cet homme comme le héros et futur roi des terres brumeuses. Sauf que le peuple n’en attend qu’une chose : qu’il arrive à sortir Excalibur de son socle. Arrivera-t-il à s’épanouir dans l’ombre du parfait Tristan ? Nynève saura-t-elle tirer parti de cette histoire déjà écrite ?
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Comme le presque dieu est prisonnier, il faut que l’histoire soit réécrite pour qu’il soit libéré et survive. C’est pourquoi il va s’appuyer sur les aléapistes, ces embranchements temporels. Cependant les décisions des êtres vivants altèrent le tout.
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Ce récit tout aussi étrange qu’intrigant nous amène – par le biais de l’auteur – à nous demander si ce ne sont pas que des histoires créées par le cerveau ?

Ces univers parallèles s’établissent aussi sur une bonne dose d’humour. L’auteur y inclut les archétypes ; la pentalogie prend des allures de pastiche.

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Le multivers permet une grande liberté : l’inventivité de Michael Coney n’est alors pas limitée. C’est un sentiment d’évasion qui envahit le lecteur. Si l’on peut dire que le récit mêle SF et fantasy, il serait plus juste de signaler qu’il est à cheval sur les deux genres. La SF à côté de la Fantasy et non entremêlées (du moins, pas officiellement) ; en attestent les structures narratives différentes (avec autant de différences qu’entre une romance et de la hard SF).
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J’ai aimé découvrir cette pentalogie si atypique et mon conseil aux futurs lecteurs serait de se laisser porter (comme pour beaucoup d’autres œuvres). Ceci dit, je pense qu’elle est difficilement accessible aux néophytes non pas sur un plan intellectuel (quand même !) mais sur l’appréciation de l’offre de l’auteur qui n’est pas, à mon sens, l’envie d’initier aux deux genres mais de proposer un ouvrage singulier aux connaisseurs des littératures de l’imaginaire.

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Couverture anglaise du livre "Le roi de l'île au sceptre" de Michael ConeyCouverture de Dutton Editions

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Logo du défi Fin de Série Livrement

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Avec cette lecture, j’ai atteint l’un de mes objectifs pour la huitième année de mon défi Fin de Série : terminer la plus vieille série jamais commencée !

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BURGESS Tony – La contre-nature des choses

01/03/2018 18 commentaires

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Couverture du livre "La contre-nature des choses" de Tony BurgessTitre : La contre-nature des choses
Auteur : Tony Burgess
Plaisir de lecture Livre à oublier
Lire les premières pages

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Le narrateur erre dans un monde aux allures de fin du monde. Les morts reviennent sous forme de zombies et ils grignotent de plus en plus le territoire des vivants. Pourtant son souci principal réside en la personne de Dixon, un vendeur de cadavres, aux addictions barbares et pornographiques.

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Mon intérêt principal était la présence des zombies. C’est basique : un livre avec des zombies dedans, je veux découvrir. Je n’ai lu qu’en diagonale la quatrième de couverture et mon cerveau a clairement mal interprété la phrase « Dixon pratique des tortures d’une barbarie et d’une sophistication pornographique qui en font l’homme le plus redouté parmi ce qu’il reste de survivants ». J’ai dû certainement traduire que souvent l’horreur s’invite quand il y a des zombies, et qu’après lecture, le roman se révélait abordable pour la lectrice que je suis. Ce qui ne fut pas le cas cette fois-ci.
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Dans cet univers, les zombies sont présents mais ils n’attaquent personne. Leur surnombre est un réel problème, notamment sur la question de la place disponible pour les survivants. La solution est de les envoyer littéralement en orbite. C’est ce qu’on appelle la gestion des déchets. Pourtant, c’est cette solution qui mettra fin à l’humanité puisque le soleil ne pointe plus sur la terre et l’air vicié provoque des maladies.

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L’objectif du narrateur est de tuer Dixon. Alors, j’ai compris qu’il pouvait vaguement y avoir un facteur de vengeance. Mais ensuite : l’attrait du pouvoir ? De l’argent ? Je n’ai pas compris l’intérêt de cette quête.
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J’ai conscience de l’exercice stylistique auquel se prête Tony Burgess. L’aspect narratif par l’introspection, des phrases percutantes et le tout mené par des chapitres courts.

Mais l’histoire devient de plus en plus gore. Les zombies ne sont finalement que le premier niveau (comme si la « glauquerie » avec neuf zones circulaires comme les cercles des Enfers).
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C’est une véritable perdition qui se déroule sous nos yeux. Il y a de violence dans les actes décrits. C’est une débauche de gore dans le sens viscéral et visuel. J’ai été sidérée par la tournure du récit en « torture porn ». C’était de toute évidence beaucoup trop brutal pour moi (et ce n’est qu’un point de vue totalement subjectif).

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Bien que j’aie vite compris le titre, je ne sais pas dans quelle direction le roman a voulu se diriger alors que l’intrigue ne mène nulle part. La fin est pitoyable dans le sens où l’auteur donne l’impression de lui-même ne plus savoir où aller, comme s’il avait mis un point de ponctuation et s’il était exclamé « Bon, je vais arrêter là, je suis fatigué, cela ne m’amuse plus ». Pour écrire le mot fin, faut-il encore en prévoir une.
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J’ai l’impression que ce livre est une légère fumisterie à vouloir surfer sur la vague du post-apo. Je pense qu’on pourrait voir dans cette histoire une sortie de pied de nez. Mais en fait, non. Il aurait fallu au moins une fin pour ça.

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Photo du livre "La contre-nature des choses" de Tony BurgessOui, j’ai physiquement mis le livre au coin

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Logo défi Valériacr0Ce livre est la sélection de février de Valériane dans le cadre de notre défi. Il venait d’arriver dans ma pile à lire et heureusement, elle me l’a choisi. J’aurais été sans doute frustrée de l’avoir laissé traîner pendant plusieurs mois avant de l’attaquer et de réaliser que ce roman n’était pas pour moi.

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Anudar a aussi lu ce roman et employé le même qualificatif « fumesterie ».

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Rond de Sorcière #91

20/02/2018 24 commentaires

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Logo Rond de Sorcière du blog LivrementLe Rond de Sorcière me permet de vous faire découvrir tous les livres lus durant le mois ; notamment les petits trésors que je découvre sans avoir le temps de leur consacrer une chronique complète.
C’est une sorte de compromis entre ma bonne conscience livresque et moi. Je vous parlerai aussi de ce qui touche de près ou de loin le monde des livres ; comme une parenthèse plus personnelle.

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C’est la nouvelle année ! Après avoir répertorié toutes mes lectures, je vous offrais alors mon bilan de 2017 sur mes lectures.
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Pour notre défi Valériacr0, ma binômette m’invitait à prendre la poudre d’escampette en compagnie d’Henri Lœvenbruck avec « Nous rêvions juste de liberté » : ce fut une belle épopée !
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En compagnie de Magali et de Marie Juliet, je me suis rendue à la deuxième édition nationale de la Nuit de la Lecture. Nous avons découvert un établissement que nous ne connaissions pas. Même si l’événement était bondé, cela nous a permis de papoter en toute tranquillité.
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Janvier est synonyme de bloggiversaire : j’ai soufflé les 9 bougies du blog. C’est fou ! Et en guise de note spéciale, j’ai écrit un plaidoyer.

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C’est tout frais ! dans la PAL :
¤ ALWETT Audrey & MORETTI Nora : Princesse Sara – Le retour de Lavinia, volume 7
¤ ALWETT Audrey & MORETTI Nora : Princesse Sara – Meilleurs vœux de mariage, volume 8
¤ BURGESS Tony : La contre-nature des choses
¤ COMBREXELLE Anthony : Presque Minuit
¤ GREGORY Daryl : L’éducation de Stony Mayhall
¤ KAY Guy Gavriel : Tigane
¤ PETERSEN David : Légendes de la Garde – La Hache Noire, volume 3
¤ ZELAZNY Roger : Le Songe d’une nuit d’octobre

→ Janvier est aussi le mois de mon anniversaire : avec beaucoup de petites attentions et de petits messages, on m’a offert des livres et c’est chouette. D’autres sont arrivés durant le mois de février.

Résultat : +8 entrées ; -9 sorties

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Acquisition des livres de janvier 2018

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Romans SFFF

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Couverture du livre "Presque minuit" de l'auteur Anthony Yno Combrexelle. Elle représente un cadran d'horloge doré sur un fond sombrePresque Minuit – Anthony Yno Combrexelle
Plaisir de lecture :  Livre sympa
Chronique complète
Sous la sublime couverture se cache une histoire estampillée jeunesse : celle d’orphelins ayant volé le mauvais objet aux mauvaises personnes. La course-poursuite nous entraine dans les rues de Paris à la Belle Époque (en 1889). Sont ainsi incorporés quelques éléments steampunk à cette enquête fantastique. Bien que l’intrigue ne puisse fournir une balade plus longue dans cet univers, ce dernier tient d’aplomb et le récit se révèle rythmé.

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Couverture du livre "Le songe d'une nuit d'octobre" de Roger Zelazny, réédition chez ActuSFLe Songe d’une nuit d’octobre – Roger Zelazny
Plaisir de lecture : note : 4 Livre à découvrir
Chronique complète
Les experts des sciences occultes se réunissent pour déterminer si au 31 octobre, il faut libérer les Anciens Dieux lors d’un rituel ou si les Fermeurs arriveront à les en empêcher pour préserver le quotidien actuel que nous connaissons tous. Chacun prend secrètement position lors de la préparation du jeu. L’originalité du récit repose sur le narrateur en « la personne » de Snuff, chien de son état. Il est le compagnon de Jack et la remontée des informations sera réalisée auprès des familiers d’autres « célébrités ». J’ai aimé l’humour qui se dégage de ces pages et l’imagination soutenue par une écriture visuelle.

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Couverture du livre intitulé "Le gnome" de Michael Coney. Il s'agit du quatrième tome de la série "Le chant de la Terre"Couverture argentée du livre "Le roi de l'île au sceptre" de Michael ConeyLe gnome ; Le roi de l’île au sceptre (Le Chant de la Terre, tomes 4 et 5) – Michael Coney
Plaisir de lecture : note : 4 Livres à découvrir
Chronique complète tome 4, chronique complète tome 5
Tome 1, tome 2, tome 3, tome 5
Le multivers de Michael Coney s’investit sur des variations du cycle arthurien pour ces deux tomes. Les avancées technologiques découvertes précédemment y figurent de manière très lointaine. Il existe toujours les aléapistes, ces bifurcations temporelles pour chaque action avortée ou non réalisée. Les personnages sont insolites et nous nous accrochons facilement à Nynève et à Fang, un gnome. L’imagination de Michael Coney n’est pas limitée et c’est essentiellement un sentiment d’évasion qui envahit le lecteur. L’auteur se balade en fantasy et en SF pour proposer une œuvre singulière destinée aux connaisseurs des littératures de l’imaginaire.

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Couverture des éditions J'ai lu du tome 8 "La secte maudite" de l'assassin royal écrit par Robin HobbLa secte maudite (L’assassin royal, tome 8) – Robin Hobb
Plaisir de lecture : Livre avec entrée au Panthéon
Chronique complète
Série complète
Sous le pseudonyme de Tom Blaireau, Fitz accepte la mission de la reine Kettricken : il part retrouver le prince héritier, en compagnie du Fou maintenant surnommé Sire Doré. Des souvenirs piquants remontent dans l’esprit de Fitz, et il doit faire face à des décisions épineuses. On se retrouve complètement emporté·e par le rythme effréné de la poursuite et l’on en apprend davantage sur le fonctionnement du Vif. Le tome se révèle particulièrement émouvant.

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Livre graphique SFFF

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Couverture du troisième tome des Légendes de la Garde : La Hache Noire de David PetersenLa Hache Noire (Légendes de la Garde, volume 3) – David Petersen
Plaisir de lecture : Livre fantas… tique
Volume 1, volume 2, hors série
Après relecture des deux précédents tomes, je me suis jetée avec délice dans ce troisième. Ce volume est consacré à l’histoire de la Hache Noire : comment elle a été forgée, pour quelles raisons, pourquoi son détenteur est lié à certains principes. L’auteur distille des informations également sur l’histoire des souris et de la Garde. Celle-ci a été créée pour protéger la communauté étendue contre leurs prédateurs. Chaque membre voue sa vie à la protection des autres, une vie parfois bien âpre. Les illustrations sont un véritable plaisir pour l’œil, les motifs et les textures – pelage des souris, végétation – sont travaillés avec beaucoup de finesse. La lecture se termine sur un certain sentiment de solitude tant le quotidien du protagoniste lui est lourd à supporter.

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Livre éclectique

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Couverture du livre Nous rêvions juste de liberté d'Henri LoevenbruckNous rêvions juste de liberté – Henri Lœvenbruck
Plaisir de lecture : note : 4 Livre à découvrir
Chronique complète
Henri Lœvenbruck nous invite dans l’univers des bikers. Nous suivons Hugo et sa bande en quête de liberté. L’aventure les emmène loin sur le bitume mais aussi loin sur leurs valeurs et leur vision de la vie. C’est surtout une histoire humaine où l’auteur nous invite dans la communauté des motards sans nous perdre ni dans les clichés ni dans les détails superflus. Le roman a des allures de chemin initiatique : c’est beau et triste à la fois.

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Lectures de janvier 2018 blog Livrement

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Me réveiller pour la nouvelle année au pied des Pyrénées et déguster de nouveau une pizza faite soi-même | Prendre le temps | Admirer la nature chez moi | Et la première feuille de ma monstera deliciosa ciselée | Confectionner une galette en m’appliquant car c’est un des rares desserts qu’apprécie petit G. | Il tirera la fève, un tyrannosaure ! | Préparer une carte et un cadeau pour l’anniversaire de Valériane | M’amuser avec l’objectif macro pour mon smartphone tout juste reçu | Profiter de la nuit de la lecture | Fêter mon anniversaire en toute simplicité | Le film « Coco », très émouvant | Déjeuner dans un restaurant à burger | Me balader en ville | M’offir un bouquet violet | Rentrer ouvrir mes cadeaux | Et recevoir de l’Amoureux un bouquet blanc | Fignoler mes cartes de voeux | Prendre le soleil à la pause déjeuner et tant pis s’il fait un peu froid | Ronronthérapie en duo | Tester une table d’hôtes en bonne compagnie | Puis déguster un bibimbap | Le tout en délicieuse compagnie | Se marrer avec le jeu Esquissé qui plaît à tout profil de joueurs | Recevoir des cadeaux et des licornes et des cadeaux licornesques, aussi | Être satisfaite de mon gâteau « aussi beau que bon ».

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La couverture du livre presque minuit écrit par Anthony Combrexelle est en relief Le songe d'une nuit d'octobre de Roger Zelazny, couverture d'actuSF

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Categories: PETERSEN David, Ronds de Sorcière Tags:

Fin de Série #13

13/02/2018 25 commentaires

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Logo du défi Fin de Série LivrementDepuis le 14 octobre 2017, j’entame ma huitième année de défi. Un défi au long cours, sans limite de temps… une formule approuvée par :

Ma très grande liste – mise régulièrement à jour ! – des séries-en-cours.

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Nous accueillons une nouvelle participante, Anna de Wicked Witch of the library. Après comptage studieux, elle arrive à 93 titres à découvrir et décide de commencer son challenge en avançant dans l’une de ses séries manga.

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Au bilan des 7 ans, j’avais dégagé trois objectifs :
✓ Terminer ma plus vieille série en cours : c’est validé ! Il s’agit du « Le Chant de la Terre » de Michael Coney (et entièrement chroniquée !)
∼ Terminer quelques trilogies
Une tétralogie, ça compte ? « Les extraordinaires et fantastiques enquêtes de Sylvo Sylvain, détective privé » de Raphaël Albert
∼ Avancer dans une longue série
« L’épouvanteur » de Joseph Delaney
« Les Annales du Disque-monde » de Terry Pratchett
… en ayant lu qu’un seul tome de chaque

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Entre le 14 octobre et le 13 février :

  • 1 nouvelle série a été ajoutée : motivée par ma reprise du cycle de « L’assassin royal » de Robin Hobb, j’ai immédiatement intégré les huit tomes suivants (même si je ne la commence que dans un an, hauts les cœurs !)
  • 7 séries ont été avancées
  • 9 nouveaux tomes sont venus rejoindre la liste (dont 8 avec l’ajout de « Les cités des anciens » justement)
  • 4 séries ont été terminées ou sont à jour des parutions :
  • Cela m’amène à la lecture de 25 tomes dont 4 relectures (essentiellement le tome précédent de volumes BD nouvellement acquis)

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Categories: Challenges & Défis Tags:

CONEY Michael – Le Chant de la Terre ~ Le gnome, tome 4

06/02/2018 2 commentaires

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Couverture du livre intitulé "Le gnome" de Michael Coney. Il s'agit du quatrième tome de la série "Le chant de la Terre"Titre : Le gnome (Le Chant de la Terre, tome 4)
Auteur : Michael Coney
Plaisir de lecture Livre à découvrir
Tome 1, tome 2, tome 3, tome 5

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Le Chant de la Terre est l’Histoire de l’Humanité qui demande un siècle pour être contée. Il existe cinq extraits rapportés pour mieux l’appréhender. Alors que Starquin le Cinq-en-Un tente de survivre, des aléapistes – ces vies alternatives – risquent de se télescoper et le Gno-monde de disparaitre.

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À la fin du troisième tome « Les Dieux du Grand-Loin », j’estimais que l’histoire pouvait s’arrêter là, comme si Michael Coney mettait un point d’orgue à ce récit futuriste. C’était une bonne déduction car l’auteur vient s’investir maintenant sur des variations du cycle arthurien. Les trois premiers tomes s’invitent par des détails glissés dans l’intrigue. Michael Coney associe la technologie et le clonage de la SF avec les contes des terres brumeuses bretonnes. Et cela fonctionne.

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Les aléapistes sont des hypothèses de vie, les bifurcations qu’auraient pu emprunter les personnages, à coup de « Et si… ». Elles existent toujours dans cet univers car Starquin le Cinq en Un tente de rester en vie.
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Nous faisons la connaissance de plusieurs personnages issue de deux aléapistes : Nynève qui s’avère adoptée par Avalona et Merlin. Avalona est une Didon – un instrument de Starquin – et Merlin est un Parangon. Nynève a la particularité de pouvoir circuler entre son aléapiste et le gno-monde.
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Sur l’autre aléapiste, les gnomes vivent dans la forêt. Ils voient les humains comme des géants et vont jouer un rôle dans la libération du dieu alors qu’ils n’en ont cure. On s’attachera surtout à Fang, qui a mérité ce surnom après avoir tué une bête effroyable. C’est un grand copain de Nynève.

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Tout un univers s’ouvre en éventail avec la présence de Pan, la Sharan qui « crée » de nouveaux êtres vivants, le rôle de Migot, et les choses du sexe qui s’avèrent dégoûtantes pour les gnomes.
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Comme Merlin et Nyève parcourent le monde pour donner – réellement – vie à leurs contes, on y croise aussi des chevaliers, des dragons et des Tables Rondes. Ce sont les contes d’Arthur et de Guenièvre qui sont ainsi prêchés comme la bonne parole. Sur l’aléapiste de Nynève, vivent aussiTristan et Iseult et la conteuse ne peut voir que d’étranges similitudes entre les deux couples.

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Les personnages sont réellement insolites ! Le multivers de Michael Coney permet une grande liberté dans ses histoires.

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Couverture du livre Le gnome de Coney réalisée par Tim HildebrandtCouverture réalisée par Tim Hildebrandt

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Logo du défi Fin de Série Livrement

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Cette lecture entre en ligne de mire de l’un de mes objectifs à atteindre pour la huitième année de mon défi Fin de Série : terminer la plus vieille série jamais commencée.

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Défi Valériacr0 – février 2018

04/02/2018 6 commentaires

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Defi valeriacr0

Le défi Valériacr0, c’est le combo de choc (et un poil drogué) que je forme avec ma copine Valériane. Peu de lectures en commun mais la bêtise et l’amour du blablatage futile, si. Et un objectif très sérieux de descente de PAL avec choix imposé chaque mois. Rien que cela !

Pour tout savoir, rendez-vous sur la page.

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Impressions pour le mois de janvier :

Entorse du mois de décembre, l’annonce pour le mois suivant est annoncé à Noël. Parce qu’on aime les fêtes ! Et on est bien placées pour le savoir puisque nous sommes nées toutes deux en janvier. Je souhaitais lui faire plaisir donc j’ai choisi une autrice à qui elle a attribué la note de « 5 rocks » à l’un de ses livres. Elle a donc pu découvrir à la nuit tombée – rapport qu’elle a écouté ce livre souvent avant de s’endormir – « Le ver à soie » de Robert Galbraith. Elle a tellement aimé qu’elle aimerait bien se jeter illico dans le troisième volume.

Depuis quelques mois maintenant, elle a un peu de mal à réaliser un raccord « saison » car ma pile à lire est toute petite. Mais en janvier, elle ne se laisse pas démonter : pour mon anniversaire, elle m’a souhaité surtout de garder mon insouciance et ma liberté en me faisant lire « Nous rêvions juste de liberté d’Henri Lœvenbruck. Ce fut une sacrée aventure !

 

Ma chronique « Nous rêvions juste de liberté » d’Henri Lœvenbruck

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Comme j’ai prêté mon exemplaire à une amie, il n’y aura pas de photo d’illustration pour cette édition 😉
À la place, je vous présente la participation de l’illustratrice Thorn pour le Character Design Challenge 2018 dont la thématique de janvier était « biker ». Vous pouvez voir d’autres illustrations via le groupe Facebook.

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Illustration de l'illustratrice Thorn pour la thématique "biker" du Character Design Challenge 2018

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Sélection pour le mois de février :.

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L’étrange bibliothèque d’Haruki Murakami

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Livre L'étrange bibliothèque écrit par Haruki Murakami

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Chère Valériane,

Nous voici aux portes de la cinquième année de notre tant aimé défi Valériacr0. Il nous reste une dernière sélection à découvrir (à lire et à chroniquer) (ou à perdrunjoker). Mon choix fut facile. Là, comme un claquement de doigts. Une évidence.

C’est un livre que tu as ajouté un jour proche de la date d’aujourd’hui (aka le 23 janvier, parce que ce n’est pas très clair formulé ainsi). Et puis, il faut dire que je l’ai beaucoup aimé. Il s’agit donc de « L’étrange bibliothèque » de Haruki Murakami. Parce que BON, je te l’ai offert l’année dernière et que tu ne l’as toujours PAS lu (hinhin).

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Sa réaction :

Wiiiiiiii!
Très bon choix pour fêter cette « dernière » sélection de l’année.
Un livre « festif » parce que reçu en cadeau par ma binôme bien aimée 🙂
En effet, ça fait un bout de temps que je le lorgne, me disant que tu en as dit plein du bien, qu’en plus il est même pas trop gros (je ne suis pas allergique aux gros hein! Le GRAS c’est la vie! Pour les livres aussi :-), mais rapport à l’agenda lecture qui s’annonce chargé).

Gooooo pour MURKAMI! mon premier en plus !

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Valériane a considéré que j’étais forcément un monstre pour faire un sans-faute en n’utilisant aucun joker durant cette cinquième année de challenge. En toute logique, elle a choisi un livre avec un « monstre » dans le dedans.

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Categories: Challenges & Défis Tags: