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Archives pour la catégorie ‘MARCASTEL Jean-Luc’

Les Aventuriales 2018

10/10/2018 37 commentaires

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Bannière des Aventuriales 2018

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Les Aventuriales est un salon hybride consacré aux imaginaires. La part belle est dédiée aux littératures et aux illustrations. Le festival se déroule en Terre du Milieu, à Ménétrol (soit approximativement à 8min46s de Clermont-Ferrand). Cette année, il a pris ses quartiers les 29 et 30 septembre.  Merci à toutes l’équipe, c’était une chouette édition ! D’ailleurs, à vos agendas : la prochaine édition aura lieu les 28 & 29 septembre 2019.

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Je suis allée me promener à ce salon la première fois en 2016 ; par le plus grand des hasards d’ailleurs puisque j’eus fait mes valises la veille. 2017 s’est passé de moi pour cause de mariage familial, je ne pouvais décemment pas décliner l’invitation des parents de mon neveu préféré (je n’en ai qu’un), aka mon neveu-presque-tout-neuf.
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Cette année, j’embarquais l’un de mes frères, ma petite maman et mon Amoureux (comme souvent). Un retard attendu – repas en grande famille oblige – s’est profilé et a un petit gonflé ; suffisamment pour me dire que je ne pourrai alors pas – ohlàlàlàlà ! – rencontrer Christopher Priest pour peu qu’il y ait une grande file d’attente. Je fais descendre le suspense illico : il n’y avait personne à sa table quand je suis arrivée et le salon fermait ses portes – ô agréable surprise – à 19h30 le samedi.

J’avoue aisément qu’une partie du retard a tenu dans le simple fait d’admirer Oly, la petite boule de poils recueillie par mon frère et ma belle-sœur. C’est un vrai chat de poche, ce jour-là elle pesait 286 grammes.

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Oly, chaton mignon au biberon

Je placarde en grand la photo d’un chaton. Il parait que cela attire le chaland.

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Dès mon arrivée, je textotais les informations importantes « retrouves-moi sous le lampadaire rose » à ma presque-copine Delphine (que je connais virtuellement parlant de longue date, que j’ai rencontrée pour la première fois en juillet 2017 et qui m’a fait plaisir de parcourir les derniers kilomètres pour venir sur un salon dont le thème central n’est pas foncièrement sa tasse de thé/café). Il était l’heure du goûter, j’ai sorti les munitions, des cookies outrageusement bons au chocolat.

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Chaussures d'une vichyssoise et d'une toulousaine "Outrageous cookies", le goûter pour les Aventuriales
On reconnaitra facilement la vichyssoise et la toulousaine qui a quitté le sud où c’était encore l’été.
Il n’y a aucun rapport avec la photo de droite. On mange bien avec nos mains.

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Persuadée d’arriver en début d’après-midi, j’ai loupé l’entièreté du concours de cosplay mais j’ai très vite reconnu Lael (son blog : Chez les aventuriers des rêves).

Et ma plus grande surprise du salon, fut de tomber nez à nez avec Samantha, femme optimiste et énergique. Je l’avais rencontrée en coup de vent à Toulouse avant qu’elle ne parte très vite à Chambéry continuer son bout de chemin. Il se devine plus qu’il ne se voit : elle porte un magnifique pendentif beluga.

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Portrait de Lael aux Aventuriales 2018 Pendentif Beluga de Samantah

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Les choses sérieuses commencent, c’est partie pour la chasse aux dédicaces
et surtout le plaisir des discussions.

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Livres dédicacés lors des Aventuriales 2018

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Comme je le notais en début d’article, je me suis dirigée en priorité vers Christopher Priest où aucun quidam ne semblait pour l’instant intéressé de sa présence. J’ai baragouiné trois mots à demi-anglais pour lui expliquer que « La séparation » était le premier roman de sa bibliographie que j’avais découvert. J’en ai lus d’autres depuis mais début septembre, j’ai relu ce titre-là pour voir s’il s’en dégageait la même force (la réponse est oui).

Quel ne fut pas mon étonnement qu’il m’offrit une franche accolade pour qu’on nous prenne en photo tous deux (si je me suis habituée à l’accolade durant la dernière décennie vécue dans la ville rose, je demande toujours à mes futures victimes si je peux les « embrasser comme dans le sud » car je sais que l’embarras peut vite naître… alors il y a à peu près un monde et demi entre moi et ma réflexion qu’un britannique pourrait prendre l’initiative).

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Portrait de Christopher Priest aux Aventuriales 2018 Dédicace du roman La séparation par Christopher Priest

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Puis, je fondûte littéralement sur Nadia Coste. Résultats annoncés du cosplay aidant, elle trônait dans son magnifique costume fait-main du Dr Strange. Je venais justement de recevoir Jivana (deux jours avant le départ !) mais que je n’avais pas encore lu. Comme il est toujours agréable d’échanger avec elle, je lui ai rappelé avec bonheur que je considérais sa plume comme une valeur sûre et que je conseillais ses romans autour de moi (sauf Le Premier que je considère à part).

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Portrait de Nadia Coste en cosplay Dr Strange aux Aventuriales 2018 Dédicace de Jivana par Nadia Coste

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Juste à côté, discutait Estelle Faye. Quand vint mon tour, elle me montrîte son art de teasing en me révélant deux éléments sur la suite des Seigneurs de Bohen. J’avais été époustouflée par l’originalité de son roman.

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Portrait d'Estelle Faye aux Aventuriales 2018 Dédicace du roman Les seigneurs de Bohen d'Estelle Faye

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Puis j’en venais à rencontrer Marie-Catherine Daniel. C’est en relisant la liste des invités que le matin même je glissais son livre « Entre troll et ogre » dans ma valise. Tout est fameux : les personnages réussis, un peu abîmés par la vie et qui pourrait très bien exister parmi nous pour une intrigue bien rythmée, à la belle conclusion. Il y a des livres qu’on choisit pour la couverture et il pourrait y avoir des livres qu’on choisit pour le capital sympathie de leur auteur/autrice. Que de pétillance ! Notez son super pantalon customisé en rapport à la couverture dudit roman.

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Portrait de Marie-Catherine Daniel aux Aventuriales 2018 Pantalon customisé de Marie-Catherine Daniel

Dédicace en cours de Marie-Catherine-Daniel Dédidcace du roman Entre troll et ogre par Marie-Catherine Daniel

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En coin de table (et d’allée, à l’entrée), je m’arrêtais au vol juste pour montrer au vol « Terre de Brume » de Cindy Van Wilder à mon Amoureux car la couverture est à mes yeux, un exemple réussi d’illustration et de photomontage, le tout rehaussé par la dorure à chaud (passiooooon packaging divers et variés). Si vous avez déjà rencontré Cindy Van Wilder – en 2016 lors de L’imagina’livres pour moi – vous savez qu’elle vous impacte immédiatement par son sourire, son tutoiement et sa joie de vivre.

Elle a su me « vendre » son diptyque stipulant que le second tome était fraîchement finalisé et prêt à paraitre durant les prochains mois. Ce qui ne fut pas mon cas – d’être prête – car elle m’a demandé de choisir une couleur pour la dédicace. J’ai hésité entre le bleu et le violet qu’elle a finalement pris en main sous ma directive. Je suis revenue expressément le dimanche matin, lui notifiant la nuit mauvaise passée à cause de ce choix de couleur raté et qu’il fallait absolument qu’elle recommence en écrivant une nouvelle dédicace en bleu. Ce qui l’a faite exploser de rire (elle est bon public).

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Portrait de Cindy Van Wilder aux Aventuriales 2018 Dédicace violette en cours par Cindy Van Wilder

Dédicace de Terre de Brume par Cindy Van Wilder Mise en scène de Terre de Brume dans un décor automnal

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Venait ensuite mon petit graal personnel en la personne de Sandrine Gestin. C’est une illustratrice qui a une place chère à mon cœur, à celui de maman (et qui compte beaucoup dans notre relation mère-fille) (parce que si tu ne le sais pas encore, c’est grâce à ma mère que je suis plongée toute entière depuis la naissance dans l’imaginaire). Je me suis sentie légèrement euphorique et légèrement honteuse aussi que cela se voit tant. En salon, les invités peuvent être d’une belle patience avec le genre d’individus que je représentais à ce moment-là.

J’ai un coup de cœur de tous les temps pour son tableau nommé « La clef de Nimüe », j’ai donc demandé une signature sur la carte postale qui représente mon marque-page préféré de tous les temps lui aussi (tu le sens, le potentiel de fan en moi ?). D’ailleurs, Ma-Chère-Mère a brodé pour mon anniversaire il y a quelques années ledit tableau au point de croix (avec 1500 micro perles pour représenter le bijou de cheveux).

Sans se concerter, on s’est offert l’une à l’autre « Le petit Grimoire des Fées » que Sandrine a bien voulu nous dédicacer.

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Portrait de Sandrine Gestin aux Aventuriales 2018 Dédicace du petit grimoire des fées de Sandrine Gestin

Carte postale La clef de Nimüe de Sandrine Gestin Dédicace de la carte postale La clef de Nimüe par Sandrine Gestin

Mise en scène automnale pour le petit grimoire des fées de Sandrine Gestin

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Côté illustrations, j’étais aussi allée faire un coucou à Tiphs que j’avais préalablement rencontrée à L’imagina’livres en mars dernier ; et durant lequel j’avais – presque – dévalisé tout son stand. Notez la pose super naturelle de l’illustratrice en pleine action.

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Portrait de l'illustratrice Tiphs aux Aventuriales 2018

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Jean-Claude Dunyach, je le croise souvent. Aux événements, en librairie, et même dans la rue. J’étais donc venue lui faire un coucou en remarquant qu’il n’y avait pas les traditionnelles gourmandises sur sa table. Il m’a indiqué qu’elles étaient réservées aux événements haut-garonnais, question facilité de transport. J’ai vu son ordinateur ouvert, et je sais que c’est un bon signe : il planche sur l’écriture de son prochain roman (il en était à la page 34).

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Portrait de Jean-Claude Dunyach avec le troll aux Aventuriales 2018 Veilleur Aventuriales 2018
Jean-Claude et son troll à gauche / Un veilleur-combattant à droite (sans rapport l’un avec l’autre) (enfin je crois)

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Si je me suis sentie très vite à l’aise pour parler avec celles que je cite (le féminin l’emporte). Je n’ose toujours pas aller vers les auteurs dont je n’ai jamais lu la plume ou pour lesquels je n’emmène les livres (entre les versions numériques et les emprunts bibliothécaires), comme Charlotte Bousquet et Lionel Davoust (bien que j’aie assisté quelques minutes à son cours du soir intitulé « La procrastination de l’écrivain »). J’ai pu échanger rapidement quelques mots avec Anna Combelles, l’une des organisateurs des Aventuriales (et rencontrée aussi à L’imagina’livres). J’ai complètement loupé Stéphane Desienne, Jean-Luc Marcastel – mais pas ma mère, d’où l’existence de la photo – et Ariel Holzl (il n’y avait que Mr Nyx présent assis à sur la table de dédicace à chaque fois que je suis passée devant).

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Cours du soir intitulé "La procrastination de l'écrivain" aux Aventuriales 2018 Portrait Lionel Davoust aux Aventuriales 2018

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Pour le reste, j’ai tout loupé. Je n’ai vu que la fin de démonstrations de combat au sabre-laser par l’Académie des Jedi Auvergnats, je n’ai assisté à aucune animation ni table ronde. J’ai très peu traîné de stand en stand. J’ai dû être sélective au vu du temps imparti (sur le salon et hors salon, en attestent les minuscules vingt minutes passées en compagnie de l’une de mes cousines que je n’avais pas vue depuis deux ans).

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Vue d'ensemble de la salle principales des Aventuriales 2018

Dédicace en cours d'Estelle Faye Allées du salon littéraire les Aventuriales 2018 

Dédicace de Jean-Luc Marcastel aux Aventuriales 2018 Stands du salon des littératures de l'imaginaire Aventuriales 2018

Dédicace en cours de Lorhan aux Aventuriales 2018 Tampon de dédicace de Nadia Coste

Sculpture de combattante aux Aventuriales 2018 Sculpture Aventuriales 2018

Cosplay La Belle aux Aventuriales 2018 Combat aux sabres laser aux Aventuriales 2018

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Est-ce que j’ai encore plus savouré la délicieuse pompe aux pommes de ma grand-mère paternelle en fin de journée ? Certainement. C’est un dessert typiquement auvergnat qui ressemble à un chausson aux pommes géant. Et pour moi, c’est aussi LE symbole des vendanges, un souvenir très fort.

Et pour contenter celles qui me l’ont demandé, je vous montre les emballages des cadeaux pour les femmes nées en octobre, aka Delphine et ma petite maman que j’ai offerts durant ce week-end.

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Pompe aux pommes, dessert traditionnel auvergnat Puy de Dôme et lecture en cours, photo en cours de route pour les Aventuriales 2018
La pompe aux pommes est à gauche
À droite, c’est quand je fais la maligne en storie sur Instagram. J’ai bien pris la photo en roulant mais je ne conduisais pas. (je précise, on ne sait jamais)

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Emballage cadeau automnal l'automne s'invite sur les papiers cadeaux 

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MARCASTEL Jean-Luc – L’Auberge entre les Mondes, embrouilles au menu !

13/03/2018 13 commentaires

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Couverture du livre "Embrouilles au menu !" de Jean-Luc Marcastel. Il s'agit du tome 2 de la série "L'auberge entre les mondes"

Titre : Embrouilles au menu ! (L’Auberge entre les Mondes, tome 2)
Auteur : Jean-Luc Marcastel
Plaisir de lecture : note : 4 Livre à découvrir
Lire les premières pages
Tome 1 « Péril en cuisine ! »

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L’Auberge entre les Mondes accueillent la reine myrmicéenne et l’empereur vespalien afin d’arriver à une entente ultime. Ce repas est leur dernier recours cordial pour ces deux peuples. Seulement la disparition de la princesse héritière de Terra Myrmicea et le vol du diadème royal déclenchent les hostilités. Nathan va devoir agir pour éviter que l’équilibre de multivers ne soit touché et devienne encore plus menaçant pour tous.

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L’Auberge entre les Mondes est reconnue comme territoire neutre et bienveillant qui prône la diplomatie… grâce à la gastronomie. Il est dit qu’un délicieux repas peut adoucir les mœurs.
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Pourtant l’établissement de réputation intersidérale va bien avoir du mal à rétablir le chaos qui se répand dans la salle. Nathan va devoir agir illico presto. Le protagoniste a grandi et est devenu plus mature depuis le premier tome « Péril en cuisine ! ». Il est toujours accompagné de Félix, Mademoiselle Fan, les jumeaux Kolkrabbi et Bleksprutt ; et bien évidemment, le familier de Nathan : Pickman, le gargouilleux.

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Cette histoire se lit très vite grâce au rythme insufflé par l’auteur. Il émaille le récit de détails sur son univers, sur l’auberge mais aussi sur les personnages. Nous avons des bribes d’informations concernant Félix, sa personnalité et son passé.
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Les multiples rebondissements donnent beaucoup de relief à ce roman fantastique. L’immersion du lecteur est réussie. Le péril réveillé dans le livre risque de mettre la vie de l’équipe en danger.

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Le récit est court et adapté aux plus jeunes lecteurs, dès 9 ans. Trois recettes en fin de livre allient cuisine et surnaturel – et humour ! – grâce aux frères poulpes. L’ensemble de la couverture est illustré par Lucas Durkheim. Les deuxième et troisième de couverture offre les illustrations des personnages en couleurs. Couverture glacée, mouture souple du livre, numéro de pages dans un chaudron : le livre est soigné jusqu’aux finitions.

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Galerie des personnages du livre "L'auberge entre les mondes" de Jean-Luc Marcastel : Nathan, Félix, Mademoielle Fan, Kolkrabii et Bleksprutt, le Gargouilleux

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MARCASTEL Jean-Luc – L’Auberge entre les Mondes, péril en cuisine !

11/07/2017 18 commentaires

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Péril en cuisine ! Le tome 1 de l'auberge entre les mondes par Jean-Luc Marcastel

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Titre : Péril en cuisine (L’Auberge entre les Mondes, tome 1)
Auteur : Jean-Luc Marcastel
Plaisir de lecture :  Livre sympa
Lire les premières pages
Tome 2

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Nathan et son copain Félix sont tous deux apprentis cuisiniers. Pour cet été, ils ont trouvé un job dans une auberge au cœur de l’Auvergne. Ils pensent s’engager pour une belle aventure, dans cet écrin de verdure et avec l’afflux de visiteurs estivaux passionnés. Ils ne croient pas si bien dire…

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L’arrivée dans le Cantal secoue un brin Félix et Nathan. Ce dernier, le protagoniste, se rend compte que tout ne tourne pas rond avant d’observer des signes peu discrets. On apprendra très vite que cette auberge est au carrefour de plusieurs mondes. Elle œuvre comme un lieu de paix et de rassemblement. Il suffit au lecteur d’avoir l’esprit un peu ouvert… pour ne vouloir qu’une chose : séjourner à l’auberge !

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On rencontre Nathan, un peu timide de nature ; puis Félix, son ami et protecteur. Il y a aussi Mademoiselle Fan, tirée à quatre épingles, qui jouera le rôle de la préceptrice stricte. D’autres personnages farfelus, effrayants et truculents font aussi leur entrée. Certains personnages sont dessinés en deuxième et troisième de couverture (à voir si vous souhaitez les découvrir en premier en illustration ou en mots). Et ne perdons pas de vue qu’il ne faut pas non plus se fier aux apparences ; par contre, à l’amitié, oui ! (c’est une des valeurs soulevées par le récit).
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Cette aventure est la première d’un récit initiatique en fantasy. J’ai aimé la dynamique nous entrainant dans un monde riche qui noue rationnel et fantastique (Imaginez une maison plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur !). Le lecteur est happé par le merveilleux grâce à une écriture imagée qui permet une grande fluidité de lecture.
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Cet opus « Péril en cuisine ! » retrace la première mission de Nathan et Félix mais je reste un peu sur ma faim. Si le rythme n’est peut-être pas assez percutant pour la vieille lectrice que je suis, l’histoire inculque de belles valeurs. Le récit court est adapté aux plus jeunes lecteurs, dès 9 ans. Cette série s’avère être une trilogie : les prochains tomes devraient donner plus d’ampleur aux péripéties.
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Le livre ne manque ni d’humour, ni de gourmandise. En fin de livre, on trouve la présentation rigolote par les frères Kolkrabbi et Bleksprutt de trois recettes authentiques.
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Un brin loufoque, beaucoup d’imaginaire, Pa’hi’Rol – l’Auberge entre les Mondes – se classe aisément en littérature jeunesse et fantastique ; elle propose quelques références à Lovecraft. Couverture glacée, mouture très souple, numéro de pages dans des chaudrons et illustrations par Lucas Durkheim sont autant d’éléments qui font de « Péril en cuisine ! » un beau livre.

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