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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Ézéchiel, tome 19

06/11/2014 9 commentaires

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red dragonCher lecteur, une fois n’est pas coutume, tu vas trouver du spoil dans mes chroniques Walking Dead. Après avoir passé dix-huit tomes à user de synonymes pour te dire ce que je pensais de cette saga, j’ai décidé d’entrer dans les détails pour chaque volume car je trouve cela bien plus intéressant (et à chroniquer et à en discuter avec toi) . Maintenant, libre à toi de t’y aventurer… à tes risques et périls. Source de l’image

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Ezechiel Kirkman Walking Dead tome 19Titre : Ézéchiel (Walking dead, tome 19)
Auteurs : Robert Kirkman & Charlie Adlard
Plaisir de lectureetoile 3 Livre sympa peu s’en faut
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Rick a l’intention de déjouer les plans de Negan. Pour cela, bien conscient de l’emprise de ce dernier et de ses forces, il s’allie à Ezéchiel. Cependant, en tête brûlée, il s’engouffre dans l’ouverture qui se présente à lui… sans penser une seconde que cette opportunité n’est peut-être aussi belle qu’il ne le croit.
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Survivre à la mort d’un proche, après un an, c’est un peu comme quand on se cogne un orteil. Ça fait un mal de chien… Et cinq minutes après, on n’y pense plus.

. Lire la suite…

KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Terrifiant tome 17, Lucille… tome 18

06/11/2013 12 commentaires

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red dragonCher lecteur, une fois n’est pas coutume, tu vas trouver du spoil dans mes chroniques Walking Dead. Après avoir passé seize tomes à user de synonymes pour te dire ce que je pensais de cette saga, j’ai décidé d’entrer dans les détails pour chaque volume car je trouve cela bien plus intéressant (et à chroniquer et à en discuter avec toi) ; tout comme tu y as été habitué(e) chez Tigger Lilly. Maintenant, libre à toi de t’y aventurer… à tes risques et périls. Source de l’image

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Terrifiant Walking dead kirkmanTitre : Terrifiant (Walking dead, tome 17)
Auteurs : Robert KIRKMAN, Charlie ADLARD
Plaisir de lectureetoile 3 Livre sympa peu s’en faut

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Après leur visite de la Colline, Rick, Glenn, Michonne, Andrea et Carl décident de retourner à Alexandria. En route, les évènements se précipitent lorsqu’ils doivent faire face aux hommes du redoutable Negan. Instinctivement, Rick réagit et envoie un message clair à l’ennemi : ils n’accepteront pas la défaite sans se battre. Message bien reçu. La réponse de Negan ne se fait pas attendre…

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Walking-Dead-Lucille)°º•. Les zombies sont de moins en moins présents et servent surtout de décor, un peu comme les cactus dans le désert. Kirkman continue sur le dicton stipulant que la menace la plus importante pour l’Homme est lui-même. L’auteur nous démontre encore une fois qu’il ne faut jamais sous-estimer son adversaire, notamment quand il s’agit de Negan. Grosse crapule doublée d’une monstruosité sans nom, il n’est pas sans nous rappeler le Gouverneur. Très charismatique, il se promène toujours en compagnie de sa batte de baseball garnie de fils barbelés. Les deux morts principales piquent notre cœur de lecteur. J’ai particulièrement apprécié la mise en avant de Jesus (contre tous) et j’ai hâte de voir ce qu’il nous réserve. Du côté psychologique, je trouve que Kirkman ne développe plus autant que dans les précédents tomes notamment avec Michonne qui parait presque « normale ».

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)°º•. Les doubles pages sont un plaisir pour les yeux, mais je trouve le trait trop brouillon. Adlard affiche une certaine médiocrité dans l’anatomie des personnages : nous éprouvons quelques soucis de lisibilité. Je suis assez chagrinée part l’irrégularité de l’illustrateur.

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)°º•. Les tomes 14, 15 et 16 permettaient au lecteur de souffler, aux personnages de relâcher la pression mais aussi le déroulement d’une intrigue plus « douce ». Si le tome 16 remontait légèrement la pente, Kirkman & Adlard nous propose ici une fin punchy. Qu’on trouve le n°100 de la série américaine dans ce volume n’y est à mon avis, pas du tout un hasard.

La surprise fonctionne bien : ils pensaient être 15-20 participants avant de voir une centaine de personnes débarquer. Ils se font « méchamment casquer ». L’univers sordide permet toujours au combo de développer leur intrigue, et nous sentons vraiment un démarrage d’un nouveau cycle, en espérant qu’ils évitent une redite de celui du Gouverneur. Si j’étais restée assez extérieure aux horreurs rencontrées jusqu’à présent, j’avoue avoir eu un plus de mal ici ; on en oublie carrément les zombies.  J’ose espérer que la saga ne s’essoufflera guère plus bien qu’elle soit bonne dans sa globalité. On finit sur un petit cliffhanger, rien que pour « allécher ».

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« Terrifiant » est le volume qui met fin à la vague douce dans laquelle Kirkman & Adlard trempaient leur lectorat. Nous faisons la connaissance d’un nouveau monstre, Negan, accompagné de sa fidèle batte et de son fameux sourire. La fin des doux rêves d’une communauté – avec reconstruction de vie – est bien arrivée. Je trouve que les illustrations sont très irrégulières, Adlard nous sert de belles doubles pages mais donne du fil à retordre côté lisibilité. Un petit cliffhanger fait haleter le lecteur jusqu’au prochain volume.

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Walking Dead 17.

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Lucille Walking Dead Kirkman et AdlardTitre : Lucille… (Walking dead, tome 18)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lecture :  etoile 3 Livre sympa peu s’en faut

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Après le massacre signé par Negan, la communauté d’Alexandria doit fournir la moitié de ses fournitures aux Sauveurs. Alors que Rick semble avoir un plan en tête, les membres ont bien du mal à laisser entrer les camions ; mais sous les menaces, personne ne désire contrarier Lucille. Tout se passe sans heurt apparent mais Carl disparaît. C’est également l’occasion de faire confiance à Jesus qui emmène Rick à la rencontre du Roi Ezéchiel.

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Walking Dead 18)°º•. Rick met en place la décision prise dans le volume précédent. Nous faisons un petit tour avec Negan, personnage bien connu car il aime défoncer les crânes avec le sourire. Kirkman en profite pour mettre en avant Carl. Ce dernier, bien que jeune, oscille entre les larmes de l’enfant et la dureté d’un très jeune homme qui a grandi dans cette nouvelle donne mondiale. .

J’ai quelques difficultés à retenir les visages des membres de la communauté Alexandria, mais la rencontre avec Ezéchiel, ce grand rasta avec un tigre, me plait bien. J’attends de voir comment Kirkman souhaite le faire évoluer mais j’ose espérer ne pas y voir quelqu’un seulement placide, j’aimerai bien qu’il ait le don d’ubiquité (au sens figuré).

Les personnages évoluent toujours et ce depuis le premier tome mais les auteurs nous font bien comprendre que les apparences sont souvent trompeuses.

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)°º•. Côté illustrations, nous revenons toujours au même avec, pour moi, un problème de reconnaissances des personnages : Eugène ne ressemble plus à lui-même. C’est inacceptable d’arriver à la case où son visage apparaît et ne pas retrouver son identité. Le second défaut qui me hérisse le poil ce sont les perspectives. Exemple : aux portes du royaume d’Ezéchiel, il y a très peu d’espace entre les deux bus (tout juste une personne) à la page 128, même un cheval n’y passerait pas. A la page 129, le cavalier entre sans souci dans cet espace où trois hommes épaule contre épaule pourrait s’y tenir. Question « galerie en fin de livre », on peut s’asseoir dessus, nous n’avons le droit cette fois, qu’à une seule double page.

Alors oui, c’est très agréable de voir les éditions Delcourt suivre de près la parution américaine, mais aucun effort si ce n’est le texte des bulles est réalisé, les onomatopées étant toujours non traduites. (Elles figurent dans le dessin, tu comprends)

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walking dead Lucille 01 walking dead Lucille 02

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)°º•. La mort de Glenn marque encore mon esprit au moment où j’ouvre ce 18e volume. J’ai aimé la partie où on découvre le repaire de Negan, sa façon de contrôle « punitions & satisfactions » : il détient un harem de femmes et marque les hommes au fer. J’ai cru comprendre que la vengeance est un plat qui se mange froid… espérons que pour Kirkman et Adlard, ce ne soit pas l’équivalent d’une quinzaine de tomes.

Finalement, les « survivants » sont bien plus nombreux que je le pensais, au regard des dix-huit tomes que je viens de lire. Pas vous ? Je trouve que la saga s’émousse un peu, il faut dire que Walking Dead est devenue une grosse licence.

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« Lucille… » tome 18 ne surprend personne quant à son titre. Rick et la bande ont dû ployer sous la pression des Sauveurs. Si on sent la tension plus que palpable, tout le monde reste – si possible – à sa place. A défaut d’attaquer directement Negan, Jesus et Rick partent en direction du royaume d’Ezéchiel. Nous avançons sur deux nouveaux territoires, il reste à savoir comment tout ce petit monde va réussir à cohabiter, ou pas.

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Souvenir de lecture : Ezéchiel, Ezéchiel, Ezéchiel !

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Dans l’œil du cyclone, tome 7
¤ Une vie de souffrance, tome 8
¤ Ceux qui restent, tome 9
¤ Vers quel avenir ?, tome 10
¤ Les chasseurs, tome 11
¤ Un monde parfait, tome 12
¤ Point de non-retour, tome 13
¤ Piégés !, tome 14
¤ Deuil & espoir, tome 15
¤ Un vaste monde, tome 16

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logofindeserieMercredi Bd FantastiqueCette lecture est une participation aux Mercredis Fantastiques en collaboration avec Mango, dans le cadre du challenge Halloween.

Il s’agit également d’une lecture commune pour laquelle Hérisson nous a rejointes sur le tome 18. La chronique de Valeriane pour les deux tomes, et celle d’Hérisson pour « Lucille… ».

Cette chronique me permet de clôturer ma saga pour le Fin de série, du moins jusqu’au prochain tome (février 2014)

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CITRIQ

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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Deuil & espoir tome 15, Un vaste monde tome 16

11/03/2013 10 commentaires

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deuil et espoir walking dead kirkman Un vaste monde walking dead kirkmanTitres : Deuil & espoir, Un vaste monde (Walking dead, tomes 15 et 16)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lectureetoile 3 Livre sympa peu s’en faut
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Deuil & espoir, volume 15
La communauté d’Alexandria se remet plus ou moins difficilement des derniers événements mais tous œuvrent pour la sécurité de leurs quartiers. Les blessures ne sont pas que physiques, certains se sentent floués, des couples se brisent et d’autres se forment. Le temps de la tranquillité n’est pas encore pour maintenant avec l’arrivée d’un homme qui sait parfaitement se battre.

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Un vaste monde, volume 16
L’équipe capture l’homme difficilement maitrisable et ce dernier leur explique qu’il vient de « La colline ». Mais on n’emprunte pas impunément à la colline sans un véritable échange… sans un juste retour des choses. Rick et la troupe ont-ils bien compris tous les tenants et les aboutissants d’un tel pacte ?

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un vaste monde walking dead 01)°º•. Pour ces deux tomes, le scénario manque de punch. Même si quelques événements arrivent, nous nous installons dans un cycle qui commence à devenir prévisible (16 tomes !). La catastrophe est finalement attendue, on perd peu à peu d’intérêt.

Le volume 15 est un tome de transition au titre évocateur. Et même si la venue du mystérieux Jésus amène un peu de fraicheur (et de menace ?), on sent que le tome 16 s’essouffle et manque considérablement d’action.

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Normalement les tomes calmes est le temps de la parlotte et de l’introspection mais les personnages demeurent mieux campés psychologiquement… comme par magie. C’est une sensation assez bizarre si on retourne deux tomes en arrière où on apprenait clairement des choses qu’on sous-tendait et dont on espérait bien voir les affres sur la vie au quotidien. Soit les personnages sont très bons pour cacher leurs pires horreurs, soit ils vont beaucoup mieux grâce à de la poudre de perlimpinpin.

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On croise fortement les doigts pour espérer que Kirkman quitte sa zone de confort et l’aspect un peu répétitif pour mieux rebondir dans « terrifiant » le volume 17. La question de l’acclimatation par rapport à la mort reste la plus grande en suspens.

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)°º•. Côté illustrations, les pleines pages alimentant un événement capital sont toujours très bien léchées. Il n’en demeure pas moins que je trouve qu’il y ait quelques ratés dans la position du corps, dans les expressions de visage. Maggie et Glenn perdent énormément de leur identité physique au cours des tomes. Les traits de Rick semblent parfois grossiers. Certains passages sont réellement bâclés.

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deuil et espoir walking dead 01

Là, ils sont censés être très en colère.

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« Deuil & espoir » ainsi que « Un vaste monde » ne transcendent pas le lecteur et il faudra se montrer patient pour en savoir davantage sur la question de l’acclimatation concernant la mort. Parfois, comportement et traits de dessin des personnages sont un peu en deçà de ce que nous présente en général le combo Kirkman-Adlard. Le scénario est un peu plus faiblard, mais on l’espère, pour découvrir un coup de punch au volume 17.

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)°º•. Biographies
Robert Kirkman né en 1978 est un auteur de comics, apparemment ultra méga connu surtout pour « Walking Dead », « Invicible » et « Marvel Zombies ». Charlie Adlard, né en 1966 est connu en Angleterre pour nombre de ses travaux dans la revue « 2000 AD ». Evidemment, son notoriété va croissante avec le succès de Walking Dead.
Leurs sites officiels : Robert Kirkman & Charlie Adlard.

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un vaste monde walking dead 02  deuil et espoir walking dead 02

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Dans l’œil du cyclone, tome 7
¤ Une vie de souffrance, tome 8
¤ Ceux qui restent, tome 9
¤ Vers quel avenir ?, tome 10
¤ Les chasseurs, tome 11
¤ Un monde parfait, tome 12
¤ Point de non-retour, tome 13
¤ Piégés !, tome 14

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Souvenir de lecture : Oui bon, et si on passait au suivant ?

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Ces deux volumes ont été croqués en lecture commune avec ma copinette Valeriane.
Nevertwhere (Vert) parle du tome 15, Délivrer des livres (Hérisson08) du tome 16 ; Spocky, du tome 15 et du tome 16.

CITRIQ

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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Point de non-retour tome 13, Piégés ! tome 14

18/12/2012 6 commentaires

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Point de non retour Walking Dead KirkmanPieges Walking Dead KirkmanTitres : Point de non-retour, Piégés ! (Walking Dead, tomes 13 et 14)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lectureetoile 4 Livre à découvrir

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Point de non-retour, volume 13
Rick et toute la troupe essaient de faire leur place parmi la communauté proche de Washington. Il leur est difficile de se plier aux règles sans être méfiant envers ces nouvelles personnes. Le retour à la vie-presque-tranquille est difficile et bientôt quelques contrariétés éclatent au grand jour.

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Piégés !, volume 14
A la suite d’un décès marquant, Rick prend les commandes de la communauté. Cette dernière n’est pas entrainée aux situations extrêmes, les coups de feu partent et ont été entendus très loin sur la plaine. C’est une horde entière de zombies qui débarque au portail de la collectivité.

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Point de non retour Walking dead 01)°º•. Le tome 13 « Point de non-retour » est très calme… ce qui permet à Kirkman de proposer un focus sur Michonne et Abraham (en plus de Rick, cela va de soi). On se rend compte que le rôle de Carl est de plus en plus élaboré… du haut de ses 8 ans (ou presque). Il est vrai qu’on n’en sait finalement que très peu sur le ressenti des enfants. On ne peut pas vraiment compter sur Kirkman pour parler de Sophie mais il nous fait apparaitre parfois Carl comme un enfant gâté… sentiment qui suppose qu’un monstre est caché sous le lit.
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Durant le tome 14, on a du zombie, plein de zombies ; et ça fait du bien. Par contre, les pertes seront lourdes. Hop, cela suppose un nouveau rebondissement… mais Kirkman nous laisse sur un cliffhanger assez flou, on peut formuler plusieurs hypothèses quant au devenir du petit groupe.

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Pieges Walking Dead 01)°º•. Il aura fallu pas moins de 10 tomes avant que je me fasse au style de Charlie Adlard. Quelques imperfections sont encore à lister, mais dans l’ensemble, cela va mieux dans le sens où je vois moins « de détails » sautant aux yeux. (Les onomatopées non traduites sont toujours d’actualité). Parmi les bonus du tome 13, j’ai beaucoup aimé la couverture américaine du #76. J’ai aimé la page 33 du tome 13 qui pourtant n’est pas folichonne, mais on sent cette lassitude et la formulation à voix haute ; la page 43 du tome 14 où le suspense est à son comble. Et en double page, dans les deux tomes, c’est la 48/49 que j’ai le plus appréciée.
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Maintenant, parlons du point d’orgue de ce tome 14 : l’accélération scénaristique est bien menée grâce à la neige qui tombe plus drue à chaque case avec l’alternance des scènes : celle de l’action dans le camp, brute avec beaucoup de monde et où le manque de sécurité est flagrant et celle d’une discussion sérieuse en tête-à-tête à l’intérieur d’une maison, passablement en sureté. Le rythme soutenu est crescendo et c’est un tour de main dont je peux féliciter Adlard. Un des meilleurs des 14 tomes lus, à mon sens. Malgré quelques prévisions faciles à deviner, le tome est encore plus prenant après « l’accident ».

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)°º•. Dans « Point de non-retour », on sent que les sentiments sont exacerbés, les personnages se méfient de tout et de tous, même s’ils restent relativement « confiants » envers leur petit groupe initial. Ce tome très très calme permet d’aborder quelques sentiments mais trop peu développés à mon goût. La violence physique et le poids moral priment ; les rapports humains sont au centre. Malgré quelques ellipses, je trouve que les règlements de situation sont trop rapides pour être convaincants (choix de leader, cas de violence conjugale).

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« Piégés ! » est un tome sous adrénaline, la tempête après le calme du tome 13, un fonctionnement scénaristique redondant dans cette saga. Les nombreux rebondissements nous font tourner les pages très vite. On se frotte à une horde et on est pris par surprise du sentiment naissant : l’espoir. Le livre renferme très peu de temps morts, tout s’enchaine à la perfection comme une mécanique bien huilée. On savoure et ce n’est qu’ensuite qu’on pense « Oh, les pauvres, quand même ».

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Si « Point de non-retour » est pratiquement à la limite de nous perdre dans des sentiments peu développés et quelques aspects d’histoire qui trainent en longueur, « Piégés ! » saura susciter un regain de plaisir : zombies à tout-va, enchainement rapide et bien emmené niveau actions. Quelques pertes humaines au programme, normal, donc.

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)°º•. Biographies
Robert Kirkman né en 1978 est un auteur de comics, apparemment ultra méga connu surtout pour « Walking Dead », « Invicible » et « Marvel Zombies ». Charlie Adlard, né en 1966 est connu en Angleterre pour nombre de ses travaux dans la revue « 2000 AD ». Evidemment, son notoriété va croissante avec le succès de Walking Dead.
Leurs sites officiels : Robert Kirkman & Charlie Adlard.

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 Point de non retour Walking dead 02  Pieges Walking Dead 02

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Dans l’œil du cyclone, tome 7
¤ Une vie de souffrance, tome 8
¤ Ceux qui restent, tome 9
¤ Vers quel avenir ?, tome 10
¤ Les chasseurs, tome 11
¤ Un monde parfait, tome 12

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Souvenir de lecture : Valériane avait tout deviné. Qu’elle est forte !

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Ces deux volumes ont été croqués en lecture commune avec ma copinette Valeriane.
Nevertwhere (Vert) vous parle des tomes 13 à 15 et Spocky du tome 13 et aussi du tome 14.

CITRIQ

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Et voilà la dernière chronique pour le challenge Fins du monde.

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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Les chasseurs tome 11, Un monde parfait tome 12

29/11/2012 6 commentaires

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Titres : Les chasseurs, Un monde parfait (Walking dead, tomes 11 et 12)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lecture Livre à découvrir

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Les chasseurs, volume 11
La communauté s’est réduite comme peau de chagrin, mais il faut bien avancer coute que coute vers Washington comme le préconise Eugène. Sur le chemin, une terrible interrogation se pose : que faire de Ben ? Sa déviance risque d’affecter tout le monde. Au petit matin, il disparait à son tour et tout chacun rejette la faute sur l’autre tout en se demandant qui est le réel auteur de ce meurtre. Dale est kidnappé, la rencontre avec le prêtre Gabriel est-telle une providence ?
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Un monde parfait, volume 12
Après avoir échappé aux griffes d’un groupe particulièrement destructeur, Rick, Michonne, Abraham et compagnie se doivent de trouver un abri sûr. Ils détectent très vite Aaron, un promeneur humain solitaire. Il leur vend sa communauté en leur stipulant qu’ils sont des candidats idéaux pour s’y associer. Un fois les lieux intégrés, Rick reste suspicieux et récupère les armes qu’on leur a confisquées à l’entrée.

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)°º•. Les personnages sont touchés par les barbaries, notamment Carl, Andrea et Dale. Les enfants semblent avoir acquis une maturité qui fait froid dans le dos : espoir fondu comme neige au soleil ?
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Il faut se méfier de tous les personnages quant aux révélations et retournements dont Kirkman est assez friand. Il faut dire que bien souvent l’auteur confirme nos doutes mais jamais de la manière dont on s’y attend : il va généralement plus loin que ce que l’on avait imaginé.
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Tous restent à fleur de peau, comme si cet état était permanent, tatoué dans la peau. En précis, je n’ai pas du tout aimé le discours commercial d’Aaron pour vanter sa communauté : il utilise l’expression « talents et expertise » quand il veut les présenter comme « candidats à l’intégration ». Comme si c’était un immense privilège d’être sélectionné et qu’il allait falloir passer un entretien corsé.

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)°º•. Les illustrations du volume 11 incluent des scènes plutôt gores, soyez prévenus. On monte d’une marche dans l’horreur par rapport aux précédents tomes. Je trouve que les expressions du visage sont plutôt réussies p.41 et p.50 avec Andrea, p.35 avec Carl. J’aime aussi certaines constructions comme la double page 104-105 ; et bien sûr la superbe p.58. Le regard sexy de Michonne p.80 m’a bien fait rire. Par contre, on se retrouve encore avec des zones entièrement grises pour des premiers plans ou des personnages p.126
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Les illustrations du volume 12 sont plutôt réussies dans l’ensemble même si les onomatopées ne sont toujours pas traduits (en atteste le « knock knock » au lieu du « toc, toc » frappé à la porte). Les personnages sont très expressifs, les pleines pages sont de belles factures. Les dessins sont parfois un peu moins léchés. Je sais que je fais figure de difficile, mais je ne vois pas ce genre de dessins en-deçà de l’ensemble dans d’autres œuvres. D’accord, je suis tatillon. J’aime bien les portraits p.24, p.50 de Rick et le zombie p.63

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)°º•. On s’enfonce plus profondément dans l’horreur avec un épisode de cannibalisme. Évidemment, il n’y a aucune gratuité et le dosage se révèle bon même si dans le tome 11, il n’y a aucun zombie. Kirkman reprécise les valeurs du petit groupe et de leurs choix ; il va au-delà des barrières morales supportées. Quid de l’humanité ?
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Le poids des sacrifices pour la survie hante les personnages. Chacun se bat contre ses démons et parait moins patient envers autrui. Avec la découverte de la communauté sédentaire, on se rend compte qu’ils semblent avoir une totale incapacité à s’adapter de ce qui se rapproche le plus d’une bulle normale de vie. Le récit est très immersif car l’auteur réussit à nous rapprocher des personnages : on se méfie de tout, on cherche le coup fourré ; le gosse à l’œil fermé, le passage dans le passé de Douglas leur chef.
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Nous sommes en mode observation et nous nous demandons bien s’il peut y avoir une lueur d’espoir. Le volume 11 présente une noirceur extrême, le volume 12 nous permet de souffler. Mais le titre du 13 « Point de non retour » attise déjà notre curiosité : activons-nous la paranoïa pour ce havre de paix ? Notons que Kirkman ne manque pas d’humour – noir – avec l’aventure de Dale.

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Les aventures de Walking Dead bénéficient d’un renouveau à chaque tome. Adlard & Kirkman nous entrainent vers une nouvelle étape dans l’horreur bien que le zombie soit peu présent. On se méfie des uns et des autres et l’humain est toujours son propre plus grand danger.

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)°º•. Biographies
Robert Kirkman né en 1978 est un auteur de comics, apparemment ultra méga connu surtout pour « Walking Dead », « Invicible » et « Marvel Zombies ». Charlie Adlard, né en 1966 est connu en Angleterre pour nombre de ses travaux dans la revue « 2000 AD ». Evidemment, son notoriété va croissante avec le succès de Walking Dead.
Leurs sites officiels : Robert Kirkman & Charlie Adlard.

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Dans l’œil du cyclone, tome 7
¤ Une vie de souffrance, tome 8
¤ Ceux qui restent, tome 9
¤ Vers quel avenir ?, tome 10
¤ Point de non-retour, tome 13
¤ Piégés !, tome 14

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Souvenir de lecture : J’le savais !

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Ces deux volumes ont été croqués en lecture commune avec ma copinette Valeriane.
Nevertwhere (Vert) vous parle des tomes 9 à 12 et Spocky du tome 12.

CITRIQ

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Et hop, une petit chronique pour le challenge Fins du monde.

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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Ceux qui restent tome 9, Vers quel avenir ? tome 10

25/10/2012 12 commentaires

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Titres : Ceux qui restent, Vers quel avenir ? (Walking Dead, tomes 9 et 10)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lecture Livres à découvrir

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Ceux qui restent, volume 9
Après le massacre organisé par le Gouverneur, le pénitencier n’est plus. Rick et Carl s’échappent et doivent survivre dans un environnement dangereux et rempli de zombies. C’est Carl qui tant bien que mal veille sur Rick assujetti à des vertiges et autres illusions. Difficile quand a maladie s’installe de prendre un nouveau départ.
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Vers quel avenir ?, volume 10
Ils découvrent pour la première fois un zombie cloué sur place par la faim ; l’origine de l’invasion se trouverait à Washington. Rick souhaite faire un détour par son ancienne ville pour refaire les stocks d’armes à feu et de munitions. L’équipée se dirige vers la métropole, non sans heurt.

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)°º•. En chaque début de tome, nous avons une page récapitulative des personnages (histoire que si tu t’y perds…), c’est assez marrant de voir qu’elle a été remaniée après l’hécatombe du tome 8.
On se rend vite compte que les personnages ont tous un grain – même les garçons Ben&Billy -. Dans cette transition, l’histoire se concentre sur l’avancée de nos connaissances concernant la vie des personnages. On assiste à une véritable détresse de Rick. Il devient encore plus vulnérable et de nouveaux symptômes psychologiques apparaissent. En gros, il vaut mieux se méfier de ce personnage, maintenant. Bien que restant enfant, Carl grandit pas mal aussi, du fait que son père soit malade.
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Trois nouveaux personnages pointent le bout de leur nez : Rosita Espinosa, Eugène Porter et Abraham Ford que j’affectionne tout particulièrement.

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)°º•. Au niveau des illustrations, la palette des gris est mieux abordée et utilisée. Nous avons quelques doubles pages impressionnantes (tome 10, page 108/109) et quelques détails que j’ai trouvés bien croqués comme le regard de Kyle (tome 10, p.20) et la haine absolue qui s’affiche sur les traits de Rick (tome 10, p.70). Cependant, je n’ai pas aimé certains dessins grisés au premier plan (tome 9 p.88). Carl n’est plus dessiné pareil, ses traits de visage ont été modifiés alors qu’il ne grandit pas si vite ; il devient d’ailleurs brun foncé. (Comparaison tome 4 p.58/59 et tome 9 p.36)

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Carl tome 4

 

Carl, tome 9

 

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)°º•. A l’arrivée des personnages dans le pénitencier, on savait d’ores et déjà que le lieu allait tomber, mais on ne savait ni quand ni comment. C’est agréable de voir le très bon rebondissement effectué par Kirkman. Les tomes 9 et 10 sont des volumes dits « de transition ». L’ambiance est particulièrement morose et les gens suspicieux. Tous sont à fleur de peau et la sensibilité est exacerbée. Nous avons une sorte de relâche concernant les scènes glauques.
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Quelques petites choses tirées par les cheveux ont le don de m’agacer ou du moins de me sauter aux yeux. On effectue une avancée certaine concernant la raison du virus. Si nous n’avons pas toujours d’explications ni de réponses concernant les zombies, nous avons des faits ; par exemple, la raison d’un zombie plus lent, le phénomène de « horde » aussi. Quid des informations données par Eugène ?
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Il va sans dire que cette série se révèle assez addictive et ces deux tomes se sont lus très vite. L’intrigue demeure bien rythmée. Que nous réserve la suite ?

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Zone grise au premier plan

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)°º•. Biographies
Robert Kirkman né en 1978 est un auteur de comics, apparemment ultra méga connu surtout pour « Walking Dead », « Invicible » et « Marvel Zombies ». Charlie Adlard, né en 1966 est connu en Angleterre pour nombre de ses travaux dans la revue « 2000 AD ». Evidemment, son notoriété va croissante avec le succès de Walking Dead.
Leurs sites officiels : Robert Kirkman & Charlie Adlard.

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Dans l’œil du cyclone, tome 7
¤ Une vie de souffrance, tome 8
¤ Les chasseurs, tome 11
¤ Un monde parfait, tome 12
¤ Point de non-retour, tome 13
¤ Piégés !, tome 14

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Souvenir de lecture : Ouh, de la bonne horde de zombies, tiens !

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Ces deux volumes ont été croqués en lecture commune avec ma copinette Valeriane.
Nevertwhere (Vert) vous parle des tomes 9 à 12.

CITRIQ

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Et hop, une petit chronique pour le challenge Fins du monde et qui convient aussi parfaitement le Challenge Halloween.

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KIRKMAN & ADLARD – Walking Dead ~ Dans l’oeil du cyclone tome 7, Une vie de souffrance tome 8

18/08/2012 6 commentaires

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Titres : Dans l’oeil du cyclone, Une vie de souffrance (Walking Dead, tomes 7 et 8)
Auteurs : Robert KIRKMAN & Charlie ADLARD
Plaisir de lecture Livre à découvrir

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Dans l’œil du cyclone, volume 7
Notre petite équipe arrive à s’échapper de Woodbury et retournent au pénitencier. Le quotidien s’approche d’un semblant de vie avec quelques événements officiels mais un suicide vient tout gâcher. La petite communauté est chapeautée par Andrea pour un entrainement au tir. Tyreese, Axel, Maggie, Glenn, Michonne et Andrea font un saut l’armurerie d’un ancien camp de la garde nationale se trouvant à proximité.
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Une vie de souffrance, volume 8
La communauté de Woodbury n’en reste pas là et attaque le pénitencier. Le Gouverneur (vivant !) ne pense pas que ces survivants seraient aussi bien préparés. Malgré une attaque qui fait quelques dégâts, ils sont obligés de rebrousser chemin. Les habitants du pénitencier, Tyreese et Michonne les suivent pour les contre attaquer par surprise. Craignant pour leur sécurité, Glen & Maggie ainsi que Dale, Andrea et les jumeaux partent en camping-car.

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)°º•. Les personnages s’installeraient-ils dans la stabilité ?

Le retour au bercail fait oublier les blessures psychologiques au groupe, notamment celles de Michonne avec ce qu’elle a subi entre les griffes du Gouverneur et le mal être intense de Carol. Alice, l’aide médicale échappée de Woodbury semble se faire à son nouveau rôle de médecin et gère les urgences au mieux.
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Avec une histoire si intense où les morts se comptent à chaque tome, il me faut régulièrement revenir au début du livre pour lire l’index des personnages afin de me souvenir des relations des uns avec les autres.

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)°º•. Ces deux tomes présentent moins de fausses notes que précédemment. Certains angles restent un peu particuliers (coude, plis de couverture) et demandent tout de même à ce que l’œil regarde l’ensemble pour bien comprendre.
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Les atmosphères sont bien ressenties et on s’attarde moins sur les illustrations car on veut très vite connaître la suite. C’est d’autant plus vrai avec le volume 8 puisqu’on enchaine les pages : les illustrations servent de support mais on n’a pas envie de les détailler, on veut juste savoir. Elles remplissent donc très bien leur rôle. L’utilisation du noir & blanc appuie sur l’effet dramatique des événements.

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)°º•. Le tome 7 sert de transition entre deux opus assez costauds. Mais il n’est pas un vulgaire bouche-trou puisqu’il contient des événements marquants même si l’action n’est pas choquante, même s’il est moins nerveux que le volume 6. « Dans l’œil du cyclone » se focalise sur les personnages mais sans oublier les menaces extérieures : nous assistons au quotidien assez bien interprété. La menace latente avec les zombies est reléguée au troisième plan. Ce volume est peut-être celui que j’apprécie le plus dans sa construction. L’environnement proposé par Kirkman est très crédible, on s’y verrait.
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J’ai trouvé que la traduction laissait un peu à désirer, notamment avec le prénom d’un personnage qui change entre le tome 7 et le tome 8 et puis l’onomatopée « putter patter » d’un jet de pipi masculin qui n’est absolument pas francophone.

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« Dans l’œil du cyclone » est assez cliffhanger pour vouloir enchainer directement avec le volume 8 « Une vie de souffrance ».  Il montre la préparation du côté de Woodbury pour leur arrivée au pénitencier à la fin du volume 7. Ce tome est l’inverse de son précédent : tout vole en éclats ; le bonheur est de courte durée. L’histoire propose un rythme intense, elle ne laisse pas indifférent. Le tome s’avère percutant et délivre entre ses pages, une véritable hécatombe. D’un point de vue général, on visionne un scenario bien ficelé avec ces huit premiers volets.

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« Dans l’œil du cyclone » et « Une vie de souffrance » se lisent de concert : alors que Kirkman nous enveloppe dans une histoire qui tend vers un peu d’humanisme dans le premier ; il nous surprend avec ce deuxième tome, où il fait éclater la vie du pénitencier dans un véritable carnage. Cher lecteur, il n’est pas bon de s’accrocher aux personnages.

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)°º•. Biographies
Robert Kirkman né en 1978 est un auteur de comics, apparemment ultra méga connu surtout pour « Walking Dead », « Invicible » et « Marvel Zombies ». Charlie Adlard, né en 1966 est connu en Angleterre pour nombre de ses travaux dans la revue « 2000 AD ». Evidemment, son notoriété va croissante avec le succès de Walking Dead.
Leurs sites officiels : Robert Kirkman & Charlie Adlard.

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Dans le chaudron :
¤ Passé décomposé, tome 1
¤ Cette vie derrière nous, tome 2
¤ Sains et sauf ?, tome 3
¤ Amour et mort, tome 4
¤ Monstrueux, tome 5
¤ Vengeance, tome 6
¤ Ceux qui restent, tome 9
¤ Vers quel avenir ?, tome 10
¤ Les chasseurs, tome 11
¤ Un monde parfait, tome 12
¤ Point de non-retour, tome 13
¤ Piégés !, tome 14

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Souvenir de lecture : Vivent les hécatombes !

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Ces deux volumes ont été croqués en lecture commune avec ma copinette Valeriane.

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Et hop, une petit chronique pour le challenge Fins du monde.

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Pic : Fight for life par Schiffer Cake.

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