Livrement

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Ô joie, j’ai pu weekendlongé en toute tranquillité la semaine dernière. Je suis donc partie chez Eirilys.
J’ai été chat’leureusement accueillie par Freki & Feitan, mais aussi par Freemanz qui sévit parfois sur le blog d’Eirilys.
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Autant te dire, que je suis arrivée – certes avec du retard (vive la SNCF !) – presqu’avec les sandales aux pieds, tant il faisait bon. J’ai enfin trouvé où se cachait l’été. Nous avons papoté, encore et encore et visité Avignon et Aix-en-Provence.
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Comme nous sommes tous trois gourmands, on s’en est donnés à cœur joie. Nous sommes d’ailleurs allés prendre le goûter à la libraire anglaise Book in Bar. (smoothie à la fraise et pecan pie pour moi, à tomber ! Scones & thé glacé étaient aussi de la partie). J’y ai même lu « If I were a book » de Andre & Jose Jorge Lettria (mais chut). Il n’y a pas que la boustifaille que nous avons trouvée agréable, les couvertures anglaises, aussi. Elles sont bien plus imaginatives ! Nous sommes allés aussi faire un tour à la librairie Goulard et à la libraire de Provence.
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Il serait faux de dire que je n’ai pas lu parce que :
1°) Eirilys m’avait programmé tout une liste de livres à zieuter, et notamment les recueils illustrés de John Howe (et j’ai également lu « Tigre le Dévoué » de Qifeng Shen & Agata Kawa),
2°) Freemanz m’a alléchée par la collec’ complète de « Bone » de Jeff Smith, mais dont je n’ai réussi à lire que le tome 1 (et que non, je ne pouvais pas repartir chez moi avec tout le reste),
3°) un trajet aller rallongé d’un tiers par la SNCF devient ton partenaire officiel (mais je m’en fous, car je venais d’aller faire pipi (oui, c’est une info primordiale) avant d’attendre à quai, que j’étais assise et qu’en plus, il faisait bon).
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Signalons au passage que mes trajets en train ont été effectués sans somnolence aucune, j’ai lu tout du long « Âmes de verre » d’Anthelme Hauchecorne. Je salue aussi mon voisin-de-voyage-retour qui était plongé dans « Et après… »  de Musso car il a failli tomber en panne : il regardait frénétiquement le nombre de pages qui lui restait à lire avant d’arriver à sa destination, tant il se risquait de finir son livre bien avant.

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