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Titre : La trilogie des magiciens (Le Réveil des Magiciens, La Chasse aux Magiciens, Le Triomphe des Magiciens)
Autrice : Katherine Kurtz
Plaisir de lecture :
Livre avec entrée au Panthéon
La trilogie du roi Kelson, la trilogie des rois, La trilogie des Héritiers
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Par une journée fraiche et brumeuse, Brion Haldane et quelques seigneurs et ducs des onze royaumes sont de partie de chasse. Alors que le gibier se fait rare et les plaisanteries nombreuses, Brion trouve la mort de manière foudroyante. Son fils, Kelson en devenir roi va répondre à la dernière volonté de feu son père en faisant revenir au royaume de Gwynedd, son ami et duc, Morgan. Ce dernier ne laisse pas indifférent : les rumeurs court à son sujet, c’est un deryni !
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La mort de Brion et la future accession de Kelson au trône précipite de multiples événements. La reine Jehana profite du retour de Morgan pour établir prochainement un conseil de gérance : elle veut l’accuser d’hérésie et de haute trahison envers les royaumes. Charissa, encore appelée Celle de l’Ombre veut elle aussi la souveraineté : elle souhaite par vengeance exterminer un à un les gens aimés par Morgan afin qu’il connaisse le mal qu’il lui a fait en tuant son propre père. Afin que Kelson parvienne au pouvoir dans les meilleures conditions, il doit obtenir la transmission des pouvoirs de Brion. Avec l’aide de Morgan et du prête Duncan, ils vont devoir interpréter le quatrain rituel rédigé par le roi défunt et réaliser les actes énigmatiques suscités.
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Cette trilogie a été écrite en 1970 et n’a pas pris une ride. Il s’agit de la trilogie originelle du cycle concernant les Derynis – mais elle n’est pas la première dans l’ordre chronologique.
Elle regroupe les trois premiers tomes écrits par Katherine Kurtz : Le Réveil des Magiciens, La Chasse aux magiciens, Le Triomphe des Magiciens.
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Il s’agit d’une intégrale achetée au hasard (!) car je partais vivre six mois en Espagne et qu’il me manquait des provisions littéraires pour cette période.
C’est apparemment une lecture estivale pour moi : cette fresque fabuleuse mérite de prendre le temps de se plonger jusqu’aux coudes yeux. Je l’ai découverte en 2004, je l’ai relue en lecture commune avec Eirilys en 2010 pour la rerelire – oui ! – l’été dernier, en 2015.
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