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VACHON Jean-Nicholas – Le voleur de voix ~ Les prima donna immortelles, tome 3

17/05/2013 4 commentaires

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Les prima donna immortelles Vachon Voleur de voixTitre : Les prima donna immortelles (Le voleur de voix, tome 3)
Auteur : Jean-Nicholas VACHON
Plaisir de lecturecoeur notation Livre avec entrée au Panthéon
Tome 1, tome 2

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Maximilien est toujours possédé par la même quête : retrouver le diamant bleu. Toujours en France auprès de Marie-Antoinette du dauphin de France, il va devoir revoir ses plans bien malgré lui. Il semble que de meilleurs auspices l’attendent à l’Est mais rien n’est sûr quant au chemin tracé, tout pourrait encore basculer. De son côté, Maria Kalo a tout pour réussir. Elle est l’étoile manquante et seule l’Amour lui manque sur son tableau de chasse. Elle s’éprend d’un mystérieux jeune homme qui l’entrainera bien au-delà de ce qu’elle était prête à consentir.

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Barbie Hope Diamond)°º•. Du côté des personnages, nous retrouvons la brochette habituelle : Carlo Broschi, Viviane et Paul Thrun und Taxis qui entourent Nathaniel Champagne et Maximilien.  Sur la place d’Amalfi, se trouve Sofia. En même temps, dans un troisième opus, on se ne fricote plus avec des nouveaux, on prédit la fin, on veut dérouler le tapis rouge. Bref, savoir.
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Et bien… que non. Coté narration, nous pouvons maintenant nous glisser dans les mémoires de Maria Kalogeropoulos. J’avais un peu peur que ces derniers arrivent comme un cheveu sur la soupe comme un prétexte fallacieux pour glisser en douce des détails que l’auteur aurait oubliés de signaler dans les deux précédents tomes. C’est mal connaitre Jean-Nicholas Vachon. C’est une nouvelle vie qui s’ouvre à nous, avec certes, de nouveaux éléments – mais pour donner davantage de contenu aux indices que tu avais déjà repérés. Ils font également naitre un attachement irrévocable pour cette demoiselle à qui tout sourit ou presque. Et c’est le presque que tu veux décortiquer, au point de lire ses parties comme s’il s’agissait d’un journal intime retrouvé dans une vieille malle au grenier. Nous rencontrons aussi Nicolae Creulescu, un médecin roumain contacté par Viviane.

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)°º•. Je l’ai déjà dit dans les chroniques des tomes précédents, mais je le réécris parce qu’il faut bien le marquer, le souligner, le surligner, le fluoter. Le souffle historique donné à ce récit est tout simplement inimaginable : trois siècles d’Histoire, de l’Inde au Canada en passant par l’Europe. L’auteur a cette faculté – qu’on pourrait qualifier de quasi naturelle tant le rendu est efficace – de jongler entre périodes historiques et narrations ; parfois-même le croit-on, avec facilité. Il ne s’agit pas d’étaler les connaissances comme un vulgaire parchemin sur une table (aussi beau le bois soit-il) mais plutôt de créer des scènes en papier en trois dimensions, d’y placer des personnages soignés et d’insuffler la vie au tout.
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La réinterprétation du mythe du vampire est très judicieusement exploitée tout en respectant les codes. Il est étonnant de se sentir traiter Maximilien – notamment – de « gentil salaud » tant on l’apprécie alors qu’on ne peut pas s’empêcher de trouver dirons-nous « déplaisantes » ses actions. Ce vampire ostracisé est également lyricomane et on sent les recherches très documentées sur l’art lyrique qui sert de fondation à cette aventure.

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Les étoiles ont toutes en commun un rêve qui ne leur appartient pas.

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)°º•. Ne vous méprenez pas, quand j’ai eu le livre entre les mains, je ne me suis pas interrogée sur la force des recherches sur l’art lyrique ou sur le bien-fondé d’une telle ré-appropriation du mythe vampirique. Non, je l’ai juste ouvert avec frénésie pour le gloutonner d’un seul coup.
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Arriver à la première page de « Les prima donna immortelles » c’est avant tout le sentiment de s’installer dans un siège en cuir bien connu. On regarde les frasques de ces deux mâles, racontées avec une écriture disciplinée. « Le voleur de voix » n’est pas de l’action brute, c’est plus doux, mais tellement plus prenant. C’est doux… mais également assez incisif ; chose complètement contradictoire mais qui fonctionne. Le suspense monte encore d’un cran car les rencontres tant attendues ont évidemment lieu.
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La seule chose à laquelle je ne m’étais absolument pas préparée (erreur, erreur !) c’est qu’il allait y avoir une fin. Je ne l’avais pas du tout imaginée ni même esquissée en esprit. Et je suis arrivée sur les dernières pages avec une sensation complètement inexpliquée et irraisonnable et une phrase hautement intelligente et très bien formulée du genre « Quoi, c’est fini ?! ».  Maintenant que vous prenez en compte cet élément, vous conviendrez que forcément, elle ne ressemble pas à celle que j’avais en tête (puisque je n’avais rien en tête) mais qu’évidemment, elle n’aurait pu être autrement. Peut-être y aurait-il pu y avoir un feu d’artifices ou un truc bling-bling mais cela voudrait alors signifier aussi que le suspense n’était pas redescendu et que vous seriez resté(e) avec des questions et un peu frustré(e) aussi.
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S’il a fallu cinq mois avant que le dernier tome franchisse l’Atlantique (parution Québec 22 octobre 2012, France 21 mars 2013), mon petit cœur de lectrice et moi avons particulièrement apprécié que la saga soit publiée dans un délai plus que respectable : tome 1 – 20 octobre 2011, tome 2 – 16 mai 2012, tome 3 – 22 mars 2013. Le premier chapitre de ce volume-ci est à découvrir ici.

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« Les prima donna immortelles » clôture la trilogie « Le voleur de voix » avec fortes réponses à nos ultimes questions ; sans oublier préalablement de faire monter d’un cran le suspense, de favoriser de nouvelles rencontres et de nous faire voyager dans les époques. La trame scénaristique est prodigieusement fignolée pour offrir une aventure aux longues canines digne de ce nom.

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Dans le chaudron :
¤ Le roi et les castrats fous, tome 1
¤ La diva et le prince romantique, tome 2
¤ Rose Morte de Céline Landressie

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Souvenir de lecture : une saga goulument dévorée ; ce genre de récit pour lequel tu n’attends qu’une lecture sympathique et qui te rend complètement accro.

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CITRIQ

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Pic : Barbie Hope Diamond (ceci n’est pas une blague, je trouve qu’elle s’accorde bien à ce livre)
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VACHON Jean-Nicholas – Le voleur de voix ~ La diva et le prince romantique, tome 2

18/09/2012 2 commentaires

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Titre : La diva et le prince romantique (Le voleur de voix, tome 2)
Auteur : Jean-Nicholas VACHON
Plaisir de lecturecoeur notation Livre avec entrée au Panthéon
Tome 1, tome 3

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A l’opéra, les castrats sont boudés. Le public attend des tragédiennes qui les fassent vibrer, nous entrons dans l’ère romantique. C’est ainsi que naquit l’étoile Maria Malibran ; et elle ensorcèlera le comte du Périgord, Maximilien. Carlo Broschi devra quant à lui vivre dans l’ombre, dans un coin où les perturbations de l’éther ne facilitera pas son quotidien d’anonyme ; il perd sa place de favori. Nathaniel devra faire face au terrible pacte familial malgré la disparition de Viviane. C’est Paul, un nouvel ami qui lui permettra de se dresser contre la Cour des Immortels.

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)°º•. Maximilien est un vampire très fort car il est doublement damné : par l’asura indien mais aussi par le séraphin de Perse. Ces deux démons se battent pour prendre possession du corps de leur hôte et il doit calmer leurs ardeurs. Si sa position fait de lui une personne « unique », il est bien difficile de vivre avec ce lourd châtiment. Seules les voies angéliques semblent le calmer. Pour un temps, il sera accompagné de Charles. Il court toujours après le bijou volé connu sous le nom de « Hope », l’œil de la déesse hindoue.

Carlo Broschi tient à flot mais l’envie de sombrer est de plus en plus forte. Meurtri, mal aimé ou plus aimé du tout, il doit continuer à exister, mais pour qui ? pour quoi ? On suit à travers ses yeux, cette époque où tout pour lui n’était qu’une blessure supplémentaire. Cet « ange déchu » de la scène, tombé dans l’anonymat le plus parfait.

Maria Malibran est la première diva de cette époque romantique, elle suscite des passions phénoménales et sa vie se résume sur un long et fort succès.

On parlera également de Nathaniel Champagne, du prince Paul Thurn and Taxis, des Maria, de Madame Mina et de la Cour des Immortels.

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)°º•. La thématique des vampires est toujours l’essence même de ce roman. En sus de savoir que les vampires se repaissent de sang frais, on découvrira davantage l’organisation des vampires, la position des archanges, l’identité des séraphins et la raison de la Cour des Immortels.

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)°º•. Lors du premier tome, nous avions trois voix distinctes par lesquelles nous entrions dans le roman, dans leur vie. Ici, le récit s’étoffe : nous prenons connaissance de la correspondance de Maria Felicia Garcia et de quelques lettres du Prince de Bavière. Les points de vue sont alors multipliés. Chaque fin de chapitre est relativement cliffhanger, ce genre de sentiment vous fera lire encore un chapitre, et encore un. (ainsi de suite). Si on est quelque peu frustré par la coupure du récit de vie d’un des personnages pour partir dans celle d’un second, on ressent dès la deuxième ligne un grand contentement, car lui aussi, vous l’aimez bien.
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Après « il divo assoluto », l’auteur se focalise sur la première diva de l’ère romantique. On repère par ailleurs, des personnalités contemporaines et d’autres plus lointaines qu’on reconnait au premier coup d’œil.  Qu’ils soient féminins ou masculins, les vampires sont aussi détestables et cruels les uns que les autres.
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Les faits historiques sont mêlés aux explications fantastiques : j’ai souri et j’ai décidé de prendre ce que l’auteur me présentait ; il se peut que selon le lecteur que vous êtes, vous trouverez parfois tout cela tiré par les cheveux. Il n’en demeure pas moins que la plume est aussi délectable que pour le tome 1 « Le castrat et les rois fous ».
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Ce n’est pas faute d’insister dessus, ce roman ne présente pas de grandes batailles ni d’actions grandiloquentes : tout est affaire de descriptions détaillées sans longueur, d’ambiance posées et de partage de sentiments. Si vous aimez ces aspects-là, vous apprécierez cette trilogie.

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La scène de théâtre de ce deuxième tome se concentre sur l’époque romantique : les points de vue sont plus nombreux et étoffent le récit. C’est un véritable plaisir que de s’enfoncer davantage dans la vie et les aventures de nos trois hommes. Le récit prend le temps de se poser, de se conter et de faire entrer le lecteur dans une superbe fresque sur fond vampirique.

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)°º•. Biographie
Né en 1978, Jean-Nicholas Vachon travaille actuellement dans les assurances après avoir exercé le métier de pâtissier durant trois années. Attiré par la littérature fantastique dès son plus jeune âge, il publie son premier roman en 2004 avec le premier tome de la série « L’archipel des Sorcières ».

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Les premières pages du tome 2 sont à découvrir ici.
Le site de la saga « Le voleur de Voix« .

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Dans le chaudron :
¤ Le roi et les castrats fous, tome 1
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Souvenir de lecture : Je n’aurai voulu être ni Farinelli, ni Maria Malibran. Pourtant deux personnes d’exception.

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Cette lecture est aussi une participation au défi « Québec en septembre« .
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CITRIQ

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Pic : Le diamant Hope ; logo par Leviathan777.
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Cette lecture a été réalisée en partenariat avec les éditions Michel Quintin.

 

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VACHON Jean-Nicholas – Le voleur de voix ~ Le castrat et les rois fous, tome 1

08/06/2012 23 commentaires

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Titre : Le castrat et les rois fous (Le voleur de voix, tome 1)
Auteur : Jean-Nicholas VACHON
Plaisir de lecturecoeur notation Livre avec entrée au Panthéon

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En 1663,  Maximilien accompagne Tavernier et son équipe lors d’un grand voyage en Orient pour le commerce de joyaux et autres bijoux auprès des princes. Lors de leur périple Maximilien est obsédé par le diamant bleu représentant l’œil de la statue d’une divinité hindoue et le vole. Un asura s’empare de son corps. Il perd alors son humanité et va devoir trouver un but à sa non-vie.

C’est en 1705 dans les alentours de Naples que naquit Carlo Broschi. Sous la férule de son père, il devient castrat. Sous le pseudonyme de Farinelli, il embrase les scènes de théâtre et charme toutes les têtes couronnées d’Europe. Cependant, le fanatisme pour une personne peut aussi être synonyme de menace.

Ces derniers jours, Nathaniel a été obligé d’assouvir la volonté de son père en mauvaise santé : il a signé un antique pacte familial dont il n’avait jamais entendu parler. Un soir d’orage, il entre chez lui et un individu répugnant s’introduit dans son appartement.

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)°º•. Sous ces mots, nous suivons la vie de trois protagonistes, bien que la part essentielle revienne au castrat. L’auteur prend son temps pour nous faire vivre aux côtés de ses personnages : on entre de plain pied dans leur vie, on apprend leurs valeurs, on découvre leurs peurs, on s’y attache très vite. C’est pour moi la très grande force de ce premier tome : on est dans le livre, littéralement parlant : on a le nez plongé sur leur quotidien.
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Maximilien est sous l’emprise d’un asura – un démon indien, depuis qu’il a volé l’œil de la déesse hindoue située au cœur de la jungle. Cette pierre précieuse est aussi connue sous le nom du diamant Hope, ou encore le Bleu de France. Il est un buveur de sang que rien ne calme pour l’instant.  Il rencontre Chandini qui va l’ouvrir aux questions liées à son statut, et l’encourage à prendre conscience aussi de certains faits.
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Carlo Broschi dit Farinelli est un castrat qui suit son envolée. Grâce à son visage de poupin et sa voix d’ange, il connaît un très grand succès lors du XVIIIe siècle. Il est adulé par les compositeurs et les membres des différentes royautés. Métastasio se révèle en plus d’être un compositeur, un très grand ami de Carlo.
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Et puis il y a Nathaniel Champagne qui est le moins présent des trois dans ce tome-ci, il est plus effacé. Professeur à l’université, il est depuis peu soumis à la loi ancestrale familiale : le jour des 25 ans, se réalise la transmission sans en connaître ni les tenants, ni les aboutissants et encore moins la nature de l’aide à apporter. En 2004, il rencontre son père malade qui lui livre le secret de famille. L’individu qui entre chez lui est-il lié à toute cette affaire ?

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)°º•. Jean-Nicholas Vachon introduit la thématique du vampire. J’ai aimé qu’ils craignent l’or – et non l’argent – car le métal précieux se réfère au soleil. Ce sont des vampires « traditionnels » : ils ne vivent que la nuit, ils ont besoin de sang également. Ils possèdent tout de même une originalité selon laquelle ils peuvent manger des aliments mais n’en absorbent rien. Cela ne les rend pas non plus malades, le personnage Chandini considère la nourriture comme un loisir,  ‘juste’ pour utiliser leur temps infini ; une sorte de luxe.
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L’auteur mélange avec maitrise les faits historiques et les éléments fantastiques. Quand on lit le rendu du travail, on sait que les recherches on été de longue haleine, peut-être un peu fastidieuses mais le résultat est tout simplement admirable car nous n’avons pas la sensation d’un vieux collage réalisé avec de petits morceaux de ruban adhésif collés à la va vite, mais d’un véritable assemblage composé d’une multitude de détails. S’appuyer sur l’histoire des castrats et manier les exigences liées à la vie des personnes réelles est un sacré tour de main.
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Même s’il ne s’agit de voyages grâce à une machine, j’ai aimé également la traversée des époques. Ce concept est particulièrement bien trouvé pour pouvoir conter les trois histoires sans qu’on soit perdu : chaque chapitre vous indique si l’on suit le journal du vampire Maximilien, si ce sont les mémoires de Carlo Broschi ou bien le quotidien de Nathaniel. On saute d’une époque à l’autre au gré de l’intrigue mais les passages dans le temps sont très bien abordés. J’ai aimé que l’auteur jongle avec les données, nous introduisent dans leur univers séparés de plusieurs années et pourtant…

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)°º•. Pour cette trilogie « le voleur de voix », le premier tome se concentre sur les trois histoires de nos personnages. Il n’y a pas de combats de quartier ou de grandes batailles grandiloquentes. Bien que cela ne soit pas des coups d’épées, le poids d’une terreur psychologique latente est bien présente.
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L’auteur qui m’était inconnu au bataillon jusque là, possède une très belle plume pour placer les ambiances, développer les atmosphères et planter le décor. L’histoire révèle une grande richesse dans les détails mais aussi une trame intéressante. C’est exactement comme les arabesques qui illustrent le livre : l’ensemble doit être équilibré et esthétiquement fort mais les détails sont aussi importants pour la finesse et la structure.
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Ces tranches de vie sont tout bonnement captivantes. Le puzzle se construit bien à ce stade – on ne peut définitivement pas parler de tome d’introduction – bien que l’on apprenne pour le moment la courbure des pièces. Il m’a été assez difficile de fermer le livre (pour dormir par exemple) tant j’avais envie de savoir ce qui allait se passer, l’envie de poursuivre était très forte même si le lot de 537 pages peut faire peur à quelques uns.

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Un premier tome costaud où on entre dans la vie des personnages et commençons à poser les premiers ponts entre les histoires. Une trame où les ambiances et les atmosphères sont primordiales pour mieux appréhender cet univers approfondi. Préparez-vous à plonger dans « Le castrat et les rois fous » et à retenir votre souffle jusqu’à la dernière page.

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)°º•. Biographie
Né en 1978, Jean-Nicholas Vachon travaille actuellement dans les assurances après avoir exercé le métier de pâtissier durant trois années.  Attiré par la littérature fantastique dès son plus jeune âge, il publie son premier roman en 2004 avec le premier tome de la série « L’archipel des Sorcières ».

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Les premières pages sont à découvrir ici.
Le site de la saga « Le voleur de Voix« .

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Dans le chaudron :
¤ La diva et le prince romantique, tome 2

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Souvenir de lecture : La porphyrie aiguë intermittente a l’air d’être une sacrée maladie !

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La caverne de JainaXF a tout aussi aimé que moi.

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Cette lecture a été réalisée en partenariat avec les éditions Michel Quintin.

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