Livrement

.

. Vas chercher bonheur chez Iani.

.

.

J’ai lu tous les livres des adaptations cinématographiques mentionnées (sinon je ne vois pas comment je peux juger si c’est réussi)

Celle de World War Z est plutôt (très) réussi même si elle ne ressemble pas dans la forme au livre de Max Brooks et j’ai envie de dire “tant mieux !” : je ne vois pas comment des entretiens peuvent tenir en haleine le spectateur durant deux heures. Il y a du visuel – du budget, aussi – et un dynamisme étudié. Il va sans dire qu’on est pris dedans, que les effets des hordes sont abracadabrants (on n’a pas la vieille impression d’une ou deux personnes copiées/collées). Mention spéciale au zombie se trouvant devant le labo 139 pour lequel l’acteur est particulièrement doué dans son jeu de rôle.
.

Un des livres difficiles à adapter s’avère être Cartographie des nuages. Les Wachowski et Tykwer ont réussi l’exploit d’une histoire “filmée” qui tient la route alors que le livre est quatre fois plus dense. Ici aussi, côté photographie, nous ne sommes pas en reste.
.

Je ne pouvais pas ne pas citer Harry Potter. Et ses 8 films. Parce que bon, ils sont prenants, très. Et même moins que les livres, encore.
.

Comment ne pas citer Le seigneur des anneaux par Peter Jackson ? Je crois qu’on peut élever les films au rang de chef d’œuvre. Certes, ils peuvent être qualifiés de “grosse introduction” au travail de Tolkien, mais le travail est soigné, le budget conséquent, les heures de travail nécessaires pour un tel résultat. Je suis beaucoup moins séduite pour l’adaptation en cours du Hobbit.
.

J’ai aussi mis Hunger Games tout simplement parce que la trilogie est plutôt sympa, qu’elle est visuelle et donc parfaite pour être adaptée. Le premier volet est à la hauteur de mes espérances ; la suite aussi, sans doute ?
.

Je ne peux rester indifférente devant l’adaptation de La tombe des lucioles. Croyez-le ou non, c’est l’animation qui m’a tiré des larmes et non le livre. Mais tous deux sont très émouvants.
.

J’ai inclus également Bridget Jones car j’ai passé de bons moments tant durant la lecture que sur le visionnage. J’avoue ne pas imaginer le personnage autrement que blonde, mea culpa. Concernant le 2, je suis beaucoup plus réservée.
.

Je vais bien ne t’en fais pas sont deux supports différents… chose qui se retrouve aussi dans la façon dont l’histoire est amenée. Je n’ai pas de regret.
.

Pour Les royaumes du Nord, je pense (j’espère !) que vous aurez compris que le film n’est vraiment pas une réussite. J’en suis outrée parce que la saga a été un véritable coup de cœur pour moi. Ils n’ont pas su transmettre la magie qui s’en dégageait. C’est un peu le cas avec Narnia, mais moindre.
.

Enfin, et cas exceptionnel, j’ai a-do-ré L’étrange histoire de Benjamin Button au point de le revoir plusieurs fois. Par contre, j’ai trouvé la nouvelle creuse et m’y suis véritablement ennuyée. Une très mauvaise rencontre.

.
;

J’aurai pu citer aussi Eragon car si le premier tome de la saga n’est pas le meilleur, il aurait pu bénéficier d’une adaptation autrement plus réussie ainsi que Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll car je l’ai trouvé particulièrement fumé, mais l’adaptation de Disney est presque une réussite en comparaison (ce n’est que mon avis) même s’il m’a fait pas mal peur quand j’étais enfant. Je fais partie aussi des gens qui apprécient la version de Burton (et oui !)

Bon, s’arrêter à 10 est particulièrement difficile (d’ailleurs je n’ai pas cité les SF) et si j’avais dû alors faire les séries, mon billet aurait fait 3 kms de long (qui a dit que c’était déjà le cas ?!)

.
.

Dans le chaudron :
¤ Top 10 des livres du premier semestre 2013
¤ Les 10 livres à lire cet été (pour moi)
¤ Les 10 livres à lire à la plage (pour vous)
¤ Les 10 plus beaux mecs papier de tous les temps
¤ Les 10 plus belles couvertures de livres
¤ Les 10 livres que je n’ai pas réussi à poser une fois commencés

.

.

Titre : Les Hauts de Hurle-Vent
Auteur : Emily BRONTË
Plaisir de lecture :  Livre sympa peu s’en faut

.

M. Lockwood arrive aux Hauts de Hurle-vent ; qui s’avère être les terres de Heathcliff. Il désire ardemment trouver un guide et le mauvais temps le cloue sur place pour la nuit. Il démêle difficilement les liens des habitants de la maisonnée et formule ses premières interrogations concernant un plausible fantôme. Il interroge sa femme de charge, Nelly. Celle-ci devient narratrice de l’histoire de la famille Earnshaw.

D’un séjour, Monsieur Earnshaw ne revient pas avec des cadeaux sous le bras pour ses enfants, mais avec un jeune garçon au bout de la main. Très vite, ce petite Heathcliff gagne toute l’amour du père, recalant ses propres enfants Hindley et Catherine. Si Hindley devient extrêmement jaloux et se perd dans l’alcool en grandissant, Catherine se rapproche énormément de lui. S’impose le choix de la raison… elle se marie avec Edgar Linton, un voisin. Heathcliff ne supporte pas et jure de se venger de cette vie volée.

. .

)°º•. Ce n’est pas forcément un portrait très réjouissant que je dresse des personnages : je les trouve assez brutaux dans leur ensemble. Aux premiers chapitres, nait un certain amalgame entre les noms mais aussi du résultat de leur nouvelle identité conséquente aux mariages. .

Selon nos préférences, certains nous serons plus sympathiques que d’autres : chacun renferme qualités et défauts qui parleront au lecteur. Ce sont pourtant des âmes torturées. Si on peut penser que Joseph leur survivra tous, il apporte un caractère humoristique non indéniable, Linton symbolisera la peur et les femmes montreront leur aspect manipulable. Catherine devra partager son cœur entre deux hommes : Edgar et Heathcliff. Elle et sa propre fille Cathy, seront malheureusement sous l’emprise de ce dernier. Heathcliff est prêt à tout par dépit et par tristesse : détruire et se venger s’avèrent être son leitmotiv. .

Concernant la topographie des lieux, nous avons la plaine, les rochers, le cimetière et deux habitations qui offrent les deux opposés : les Hauts de Hurle-Vent et Thrushcross Grange. On notera que les personnages sont aussi sinistres que la lande, et les plus grandes scènes se déroulent la nuit. Par contre, les saisons sont peu marquées, le vent et la pluie règnent en maitre, parfois, il y a quelques épisodes de neige.

. .

)°º•. J’ai été assez interloquée de trouver dans ce récit tant de cruauté physique et mentale entre les personnages : coups de pied, de poing et autres gifles. La cruauté est aussi présente envers les animaux : la portée de chiots pendue à une chaise par Hareton, Heathcliff frappe chevaux et chiens et a pendu la chienne d’Isabelle pour se venger. Isabelle et Edgar Linton ont écartelé des chats dans leur enfance. .

Ceci est un des aspects de l’atmosphère tout du long du récit : l’ambiance glauque plane de manière permanente. Les amours désillusionnées sont bordées de haine et de mépris et c’est une tragédie qu’Emily Brontë nous offre. Cette histoire me fait penser irrémédiablement aux seuls textes fantastiques de l’ère victorienne que j’ai lus : je ne peux m’empêcher d’y voir la personnification d’un démon en la personne de Heathcliff. .

Emily Brontë navigue sur le romantisme anglais du XIX^e siècle (né avant le romantisme français) avec cet état mélancolique qui le caractérise. « Les Hauts de Hurle-Vent » reprend les communs du roman noir : l’atmosphère angoissante, les fantômes et leur cimetière ainsi que la jeune fille persécutée.

. .

)°º•. Cette histoire est contée en poupée gigogne car c’est Nelly, une domestique du locataire actuel de la Grange – Lockwood – qui tient le récit. Ces premiers chapitres avec Lockwood sont assez déstabilisants. L’aspect narratif tenue par cette dernière joue beaucoup dans cette impression de « récit bien conduit », tant sur la façon d’amener les faits que sur la manière de glisser quelques passages humoristiques ou autres anecdotes. .

L’histoire est d’une puissance négative bien réelle : beaucoup de noirceur découle de la plume d’une femme de 28 ans pourtant pieuse et qui sortait rarement de chez elle. Son roman a bien évidemment secoué les mœurs d’autrefois et a été reçu vivement par le lectorat. Je trouve quelques moments un peu trop théâtraux à mon goût, mais il est vrai qu’on veut savoir ce qu’il advient des personnages. .

Une majorité de lectrices a découvert ce roman dans l’adolescence, peut-être mon âge joue-t-il sur cet aspect là ou peut-être ne suis-je pas assez portée sur la romance (mais l’étais-je avant ?) pour véritablement avoir été transportée. Je pense que ce livre mérite plusieurs relectures au cours d’une vie, car il pourrait faire appel à différentes émotions alors.

Je bénéficie d’une chouette édition pour mon exemplaire : le coffret referme un marque-page et une première de couverture tous coordonnés.

. .

« Les Hauts de Hurle-Vent » est un classique anglais indéniable par la plume incisive et précise d’Emily Brontë. Le récit peint la fresque de la famille Earnshaw avec tout le lot de tragédie, de drame mais aussi de romance qu’elle aura vécu. Nous plongeons directement dans le romantisme anglais et dans la fameuse période victorienne.

. .

.

————————————————————————~*

.

Souvenir de lecture : Il est mauvais, il est mauvais !

.

Cette lecture est celle de juin pour le défi Valériacr0. J’ai trouvé une copine de « lecture commune » afin qu’on s’épaule durant notre découverte, il s’agit d’Un criquet errant dont vous pouvez retrouver la chronique ICI.

.

Chaplum (Manu), Charabistouilles (Bykiss), Chez Iluze, D’encre et de rêves (Morgana), Des galipettes entre les lignes (Lili Galipette), Lilly et ses livres, Nevertwhere, Perdre une Plume, Pilalire (Bookormette), Rêve Général (J.a.e_Lou), The Cannibal Lecteur se sont aussi promenés sur la lande.

.

Pics : #01 Wuthering Heights par Peibee an Jay ; #02 Wuthering Heights characters par Gerre.

.

.

Le défi Valériacr0, c’est le combo de choc (et un poil drogué) que je forme avec ma copine Valériane. Peu de lectures en commun mais la bêtise et l’amour du blablatage futile, si. Et un objectif très sérieux de descente de PAL avec choix imposé chaque mois. Rien que cela !

Pour tout savoir, rendez-vous sur la page.

. . .

Impressions pour le mois de juin :

Mon random « maison » a choisi un chiffre entre 1 et 558, c’est tombé sur le 13 soit sur « Mythologies » de Roland Barthes pour Valériane. Nous dirons qu’elle a eu quelques difficultés à le lire tant il était soporifique. Comme abandonner un livre est un droit du lecteur, elle n’a pas eu de punition ; surtout qu’elle a vraiment essayé. Pour ma part, j‘avais « Les Hauts de Hurle-Vent » d’Emily Brontë. Je ne savais pas trop comment j’allais recevoir ce livre, j’ai donc trouvé une copine de lecture commune en la personne d’Un criquet errant.
→ Sa chronique « Mythologies » de Roland Barthes
→ Ma chronique « Les Hauts de Hurle-Vent » d’Emilie Brontë

.

.

Pour le mois de juillet, j’ai choisi pour Valériane :

Ça va faire très mal de Garth Ennis (The boys, volume 1)

Après le petit échec du mois dernier, il fallait que je lui donne un truc (bien) plus sympa ; le titre convient parfaitement à la situation. Elle pourra ainsi découvrir l’envers du décor des super-slips alors que tout le monde en fait l’apologie ces derniers temps. Un petit comic book pour être lu rapidement et lui laisser du temps aussi, pour se plonger dans des lectures qui la tannent vraiment pour cet été, sans que cela soit un choix imposé 😉

Sa réaction : whoooo super !

.

Que m’a-t-elle choisi ? A découvrir chez elle.

.

.

. Vas chercher bonheur chez Iani.

.

.

Parmi les 10 livres les plus intimidants, il y a plusieurs aspects pour moi :

¤ Ceux propres aux livres comme c’est le cas avec Jonathan Strange et Mr Norrell de Susanna Clarke parce que c’est un packaging qui fonctionne, et que bon, tenir un tel livre dans les mains, c’est déjà quelque chose. Il y a aussi Le voleur de Voix de Jean-Nicholas Vachon car je n’étais pas forcément très enjouée en lisant le quatrième de couverture, mais bien intriguée. Un peu du genre, cela passe ou ça casse. J’ai bien fait, c’est un véritable coup de cœur pour moi. C’est aussi le cas de La horde du Contrevent d’Alain Damasio car j’avais peur de ne pas réussir à me laisser porter par le vent. Enfin, La cité des Saints et des Fous de Jeff VanderMeer qui est un véritable ovni : quand je l’ai feuilleté, c’était un peu du genre « Mais qu’est ce que c’est que ce bazar ?! ».

 .

¤ La célébrité/L’affect. Ceux que tout le monde a aimés, et que bon, toi aussi tu devrais. Comme c’est le cas de Hunger Games de Suzanne Collins, de Neverwhere de Neil Gaiman, de l’œuvre de J.R.R. Tolkien (pour différentes raisons chacun). Et puis il y a l’affect, ce genre de livre où tu te dis presque qu’il y a intérêt que tu aimes puisque celui qui l’a adoré, tu l’aimes bien aussi ; alors si tu pouvais accrocher au titre qu’il te conseille, cela serait bien (mais on ne se force pas) ; c’est le cas, entre autres des sagas de Hobb avec les échos tellement fantastiques d’Olya & Eirilys (mais que je n’ai pas pu citer ici, faute de devoir m’arrêter à dix). C’est aussi L’agneau de Moore, premier livre que Monsieur m’a offert et celui que j’ai laissé trainer (des années !) de peur d’en être déçue.

.

¤ Les nouvelles, car le format est un peu difficile pour moi : j’ai souvent été déçue.  A chaque fois que je débute une nouvelle, il y a cette petite intimidation, ce très court moment d’hésitation. Mais on y remédie grâce au challenge de Lune Je lis des nouvelles et des novellas.

.

¤ Et le-tout-seul-dans-sa-catégorie : La tapisserie de Fionavar de Guy Gavriel Kay. Et oui. J’ai beau l’avoir relu plusieurs fois, j’ai toujours cette petite appréhension en me demandant si la magie fonctionnera même pour cette énième lecture.

.

Sur le podium-de-deux-places, il y a donc en médaille d’or L’agneau de Moore et pour la médaille d’argent la trilogie de GGKay. Mais j’ai testé pour toi, tu peux y aller les yeux fermés. Ils ne sont finalement pas si intimidants que ça.

Bon, mais en vrai, les plus intimidants sont finalement ceux qui sont à venir. Non ?

.

Dans le chaudron :
¤ Top 10 des livres du premier semestre 2013
¤ Les 10 livres à lire cet été (pour moi)
¤ Les 10 livres à lire à la plage (pour vous)
¤ Les 10 plus beaux mecs papier de tous les temps
¤ Les 10 plus belles couvertures de livres
¤ Les 10 livres que je n’ai pas réussi à poser une fois commencés .

.

Hier je me suis enfin rendue à une session des Vendredis Oniriques.

C’est un rendez-vous mensuel où parler et échanger autour des cultures de l’Imaginaire (science-fiction, fantasy, fantastique), qu’il s’agisse de littérature, de cinéma, de musique, d’illustrations ou de jeux de rôle. La rencontre a lieu le dernier vendredi de chaque mois et bénéficie souvent d’une thématique.

.

J’en ai entendu parler la première fois quelques jours avant mon échappée avec Mutinelle : râpé pour la session de mars. En avril, malgré le thème très alléchant des super-héros, j’étais conviée à une super soirée prévue de longue date. En mai, c’est une flemmingite aigüe qui m’a clouée. Hier soir, étant à peine arrivée chez moi, j’ai résisté à l’appel du canapé pour filer illico au point de rencontre. En emmenant Monsieur aussi, tant qu’à faire. J’ai juste épinglé le badge qu’Olya m’a offert et roule ma poule.

Bien évidemment, je n’avais prévenu personne de notre venue. Ce qui ne m’a pas laissé le choix de laisser un message S.O.S. sur un réseau social (qui a été vu seulement le lendemain, soit aujourd’hui)

.

Monsieur me demande le thème, je lui donne :
_ Non mais attends, tu n’auras pas le temps de tout lister ce que tu vas lire cet été en une heure, rétorque-t-il.
_ C’est possible, si je ne m’interromps pas du tout !
.

J’ai ainsi pu faire la connaissance de Camille, Vanessa, Arnaud, John, Céline, Vincent, Magali et Marie et Sébastien. Lors de la présentation de chacun, Monsieur a gagné des points et des « Oooooh » d’admiration quand je l’ai forcé il a parlé de la construction de sa bibliothèque sur mesure ; mon expression de « lectrice bi » a beaucoup plu aussi et a été adoptée 😉  D’ailleurs, petite piqure de rappel, chez My inner shelf, on trouve des logos fantastiques :

.

.
.

Si le thème de la soirée était la PàL des vacances, nous avons papoté de tout et surtout de rien. Le lieu était un peu bruyant à cause d’un volume musical bien trop fort, rendant les conversations difficiles avec des gens en dehors de notre plus proche voisinage. On a parlé zombie (j’étais bien obligée !) mais surtout de films tout pourrites comme on les aime (des nanars, donc) et aussi beaucoup de séries.

Etant ma voisine directe de gauche, j’ai beaucoup parlé avec Céline qui adore la bit-lit romance… et aussi les zombies (mais sur d’autres media que la littérature). Ce qui donne des conversations croisées intéressantes et de quoi bien la taquiner sur tout ce qui concerne son dada, les vampiiiiiires.

Alors que le plus gros de la troupe est parti au restaurant, nous avons tenu bon encore un moment à quatre avant de nous quitter, la fatigue au bord des cils.

.

   

.

.

.

Voici le 2^e récapitulatif de ma 3^e année de « Fin de Série ».

..

Commençons par les nouvelles recrues qui nous ont rejointes : Agnah, Audrey, Céline, De.w, Sapotille… et le premier homme Litt’n’sounds !
Ah elles ont rigolé du genre  « challenge fingers in the nose ». Mais c’était avant d’établir leur liste. Après, elles ont pleuré.*

.

.

Les nombres indiqués sont ceux arrêtés au 13 juin 2013.

Depuis le 17 février 2013, je suis une petite joueuse ; et ce, sur tous les plans.
Seulement 3 nouvelles séries sont apparues (ouf !) et 6 nouveaux tomes ont été inclus mais 3 sont déjà lus : j’intègre une nouvelle série à ma liste une fois que j’ai lu un tome, logique quand tu nous tiens.

J’ai avancé 11 séries au total dont 6 sont terminées ou mises à jour ; j’ai finalement lu 15 volumes figurant sur la liste.

.

Sur cette troisième année, j’ai lu pour l’instant 36 livres en comptant les relectures. Cela suit la tendance générale en 2013, je lis moins et cela se ressent forcément sur le Fin de Série. Mais on ne désespère pas, l’avancement sur 11 séries sur quatre mois prouve que je n’y mets que de la bonne volonté. Non ?

.

Depuis le tout début du challenge, soit le 14 octobre 2010, je compte 355 livres inscrits répartis sur 50 séries (tout rond). Ça fait peur !

Pour voir les séries en détail et suivre mon avancement, c’est par ici.

.

* l’emploi du « elles » intègrent aussi le jeune homme. J’ai « féminisé » l’accord, comme dans « Chroniques du Pays des Mères » d’Elisabeth Vonarburg.
.

.

.
Vas chercher bonheur chez Iani.

.

.

La sélection pour ce TTT a été réalisée parmi 46 livres ; tous genres et supports confondus. Je les ai aimés, tous pour des raisons différentes.
Pour les tomes de saga, en ayant lu plusieurs, je vous indique ce que j’ai pensé du premier et ces livres ne sont pas classés par préférence :
Le voleur de voix de Vachon – Le cirque des rêves de Morgenstern – Hunger Games de Collins – Des fleurs pour Algernon de Keyes – Rose Morte de Landressie – Cœur de pierre d’Almanza & Gauthier – L’agneau de Moore – Cartographie des nuages de Mitchell – Les aventuriers de la mer de Hobb – Ainsi naissent les fantômes de Tuttle.

.

Dans le chaudron :
¤ Les 10 livres à lire cet été (pour moi)
¤ Les 10 livres à lire à la plage (pour vous)
¤ Les 10 plus beaux mecs papier de tous les temps
¤ Les 10 plus belles couvertures de livres
¤ Les 10 livres que je n’ai pas réussi à poser une fois commencés

.

Enregistrer