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Titre : La route de Haut-Safran (La tyrannie de l’arc-en-ciel, tome 1)
Auteur : Jasper Fforde
Plaisir de lecture :
Livre avec entrée au Panthéon
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Eddie Rousseau vient d’arriver à Carmin-Est, avec son père, swatcheur de profession. Il a été envoyé dans les Franges Extérieures par mesure disciplinaire après avoir joué un mauvais tour à Bertie Magenta, un camarade Pourpre. Il doit effectuer le recensement des chaises de la ville afin d’obtenir un Réalignement d’Humilité. Commence alors l’enquête officieuse de la mort de l’ancien swatcheur de la ville.
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9.3.88.32.025 : Le concombre et la tomate sont tous deux des fruits. L’avocat est une noix. Pour faciliter les compléments alimentaires des végétariens, le premier mardi de chaque mois, le poulet est officiellement déclaré un légume.
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)°º•. Edward Rousseau se coule dans le moule, il est passe partout et vit une vie sans remous ni contestation ; il espère bientôt épouser une Sang-de-Bœuf. C’est un jeune Rouge, fils de swatcheur (médecin qui use de la couleur pour soigner les gens). Il attend avec impatience son Ishihara qui déterminera son pourcentage de couleur. Un peu naïf et maladroit, Eddie est entrainé dans des aventures qui semblent le dépasser.
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Le monde que nous offre Jasper Fforde est agencé par les couleurs. Nous sommes en Chromocratie. C’est un post-apo dont l’apocalypse est inconnue et oubliée. Elle est d’ailleurs nommée « Le Truc-Qui-S’est-Passé » il y a cinq siècles et à cause duquel de nombreux bons en arrière se produisent pour cette société : la disparition de technologies ou de produits manufacturés. . Lire la suite…
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L’année dernière, le 1er juillet, je m’inscrivais au challenge Morwenna’s list organisé par Cornwall.
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C’est d’ailleurs grâce à elle que j’ai pu lire le roman capital et éponyme. Elle l’a fait voyagé postalement jusqu’à moi. Puis je l’ai remis à Marie Juliet. Pour qu’elle puisse elle-même le découvrir et lui remettre en mains propres aux Utopiales 2014. Et puis, j’avais gagné sur son blog Soleil Vert de Harry Harrison (happy me !)
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¤ ADAMS Douglas : Saga Le guide du voyageur galactique
¤ HARRISON Harry : Soleil vert
¤ POE Edgar Allan : Le Corbeau
¤ WALTON Jo : Morwenna
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J’ai donc (re)lu 8 romans et poème narratif. Je comptabilise alors 32 tomes des œuvres listées (puisque j’en avais déjà lues quelques-unes avant ledit challenge).
Je n’ai pas réussi à me plonger dans le premier cycle des Princes d’Ambre (le Cycle de Corwin) de Roger Zelazny. Ma première incursion m’avait paru bien trop incongrue pour que je continue sur le moment et la saga ne me disait rien cette année. Ça arrive ! Mais au moins, j’ai pu tout chroniqué (genre Super-pouvoir de la Blogueuse que je suis)
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Titre : Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers
Auteur : Benjamin Alire Sáenz
Plaisir de lecture :
Livre sympa
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Été 1987. Aristote a 15 ans et est plutôt du genre silencieux. Il est étonné que Dante prenne le temps de lui apprendre à nager, lui qui est si expansif et sociable. Et c’est ainsi que commence leur relation et le partage de leur vie adolescente.
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Les secrets de l’univers sont ceux du corps et de la tête, les sentiments. On est loin des super-pouvoirs (si, c’est important de le signaler). A vrai dire, si je suis réceptive quant au titre long, je suis complètement passée à côté de celui-ci.
Tout comme la couverture qui ne retranscrit pas vraiment l’univers : à la va-vite, un pick up est ajouté en bas à gauche pour montrer que quand même on est dans un état aride. Mais à mon sens, ni la police d’écriture, ni les motifs ne font appel à leurs origines ; je trouve que ces deux composants graphiques sont plus issus des cultures arabiques (Moyen-Orient).
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Mes parents se tenaient par la main. Je me demandais ce que ça faisait de tenir quelqu’un par la main. Je parie qu’on trouve tous les mystères de l’univers dans la main de quelqu’un.
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Titre : Le guide du voyageur galactique (saga)
Auteur : Douglas Adams
Plaisir de lecture :
Saga sympa peu s’en faut
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Arthur Accroc vient d’être sauvé par son ami Ford Escort. La Terre a été détruite afin de créer une voie express hyper spatiale. Accompagné d’un des meilleurs astrostoppeurs, il prend sa serviette et s’en va à travers la galaxie. Poésie des vogons, question ultime pour la réponse 42, Vortex à Perspective Totale et disparition des dauphins… sont au menu des folles aventures qui les attendent.
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Issu d’un feuilleton radiophonique diffusé à partir de 1978, Le guide du voyageur galactique (The Hitchhiker’s guide to the galaxy, H2G2) est une pentalogie écrites entre 1979 et 1992.
Cette histoire est universellement connue, grâce à certaines références même si elle n’a pas été toujours lue. Cette trilogie en cinq volumes ne doit pas être lue sérieusement. Dans la famille space opera, je demande la carte loufoque et le pouvoir « parodie des clichés de la Science-Fiction ».
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Titre : Le Corbeau
Auteur : Edgar Allan Poe
Plaisir de lecture :
Poème sympa
· Version intégrale : originale, traduction par C. Baudelaire, par S. Mallarmé
· Lecture audio par Fred Daredevil
· En chanson, par Omnia
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Durant une nuit lugubre, le narrateur lit un livre et tente de s’assoupir pour oublier la mort de son amour Lenore ; quand il entend quelqu’un frapper à la porte. Effrayé, il va tout de même l’ouvrir mais il ne trouve personne. Puis, il part ouvrir la fenêtre pour taire le vent dans les jalousies. Alors un corbeau majestueux entre dans la chambre. Il lui demande son nom mais ne s’attend pas à entendre… « Jamais plus » (Nevermore)
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Edgar Allan Poe voulait attirer les critiques et satisfaire le public en publiant Le Corbeau en janvier 1845. La célébrité fut instantanée et pourtant, il ne gagna pas d’argent. Confondant auteur et narrateur, le public surnomma l’écrivain « Le Corbeau ».
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Ce poème narratif propose une musicalité certaine : rythme, métrique, utilisation d’allitérations et d’octosyllabes. L’ambiance surnaturelle sert des références classiques et folkloriques. Le choix du mois de décembre n’est pas hasardeux : Poe souhaitait intégrer la notion de forces obscures.
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Titre : Soleil vert
Auteur : Harry Harrison
Plaisir de lecture :
Livre sympa
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New York, 35 millions d’habitants. Le rationnement en eau et en nourriture, couplé à des températures écrasantes fait monter en pression ce magma humain. Pourtant, Andy Rush garde la tête froide. Il doit enquêter sur le meurtre de Big Mike, un gros bonnet du marché noir.
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Paru sous le titre « Make room ! Make room ! » en 1966, il faudra attendre 1974 pour la publication française, traduit par Emmanuel De Morati. En France, le roman se fait connaitre via l’adaptation cinématographique éponyme par Richard Fleischer de 1973. Et dans ma grande chance, je ne l’ai pas vue, donc ma lecture n’a pas été parasitée.
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Nous nous trouvons à l’entrée dans le troisième millénaire, quelque mois avant le passage à l’an 2000. Sans cette indication, ce que nous lisons pourrait très bien être notre futur. L’enquête policière est surtout un prétexte pour nous présenter différents profils. C’est un roman d’anticipation, post-apocalyptique et on pourrait presque y voir une uchronie (mais quid du point de divergence).
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Plus facile à suivre qu’un régime et à garder en vie une plante d’intérieur, mon défi « Fin de série » se déroule tout seul.
Il faut dire qu’il s’entretient de lui-même : quand on lit de la fantasy, on est forcément confronté(e) à des séries. Me voilà dans la cinquième année, avec un rythme de croisière plan-plan.
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Entre le 13 février et le 13 juin 2015, 48% de mes lectures sont des tomes de séries. Depuis le dernier récap’-en-cours-de-route, j’ai décidé de séparer les séries qui se déroulent dans le même univers (L’assassin royal et ses trois cycles, Fils-des-Brumes avec deux cycles en cours et d’autres attendus (au moins deux)).
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J’ai donc 8 nouvelles séries à mon actif dont 4 sont à jour ; dont 3 officiellement terminées (Kaput, finito, bye-bye). J’ai avancé en simultané sur 13 séries différentes.
J’ai listé 20 nouveaux tomes dont 12 issus des nouvelles séries. Parmi ceux-là, j’en ai lus 7 (ou comment limiter la casse). En tout, ce sont 15 tomes lus qui « sortent ».
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Sincèrement, j’aurais pu faire encore mieux si les éditeurs ne s’étaient pas donné le mot pour sortir le « prochain tome » de telle ou telle série en mai et en début juin, j’aurais pu alors dire que j’en avais ‘bien pluuuus’ à jour que ça. Et puis dans la foulée, j’ai aussi alimenté ma liste des tomes-de-longues-sagas-que-j’avais-oubliés-de-lister-que-c’est-pas-ma-faute (je pense à L’épouvanteur de Delanay et Thursday Next de Jasper Fforde).
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Ce qui m’amène au nombre épineux de 51 séries au total (depuis le 14 octobre 2014) dont 17 sont terminées ou à jour. Soit 30 livres « ciblés » lus en 8 mois (mention « peut mieux faire »). Par contre, si je devais encore prouver l’absolue indispensable raison d’être de ce défi, je stipulerais que depuis octobre 2010, 453 livres sont concernés par mon challenge.
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Côté autres participants, Eirilys a dressé un bilan de l’année écoulée.
Tous les participants sont cités sur la page du défi, ainsi que mes sagas et leur avancement. N’hésitez pas à nous rejoindre 😊
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